A bouts de souffle

Je tombe (sans trop de mal, rassurez-vous) sur cette brève Yahootesque : « Les policiers belges souffleraient eux-mêmes dans le ballon » !! Développement : « La police belge a ouvert une enquête pour vérifier si certains de ses membres ont bien soufflé eux-mêmes dans le ballon afin de pouvoir atteindre les objectifs de contrôle d’alcoolémie au volant. »

Curieux, n’est-il pas ? je cherche, et trouve cet article du « Soir », le grand quotidien bruxellois, une fois.

Deux compte-rendus du même fait divers, l’un façon « histoire belge », l’autre façon journaliste belge en Belgique.

Cette histoire pourrait donner lieu d’ailleurs à des développements intéressants… à supposer que les policiers belges souffleurs de ballons aient abusé de gueuze, de lambic ou de Jupiler, on pourrait imaginer, par exemple, qu’ils se soient consciencieusement bourrés pour étalonner leurs appareils ; ou bien, dans le but d’arrondir les fins de mois, qu’ils se soient dressé eux-mêmes procès-verbal pour ébriété sur la voie publique, rejoignant ainsi les célèbres Dalton de la non moins célèbre chanson de Joe Dalton (pardon,  Dassin ! ) qui « se livrèrent eux-mêmes, pour toucher la prime« .