Poème

C’est, paraît-il, un « tube » (un « hit« , coco !) qui tourne en boucle sur les radios « djeunes » ; un tube de vieux, de senior, cependant, puisque l’interprète dudit tube a pour nom de scène Johnny Halliday, bientôt 68 ans aux cerises !  Le nom de ce morceau de choix : « Jamais seul« .

Et voilà qu’on accuse les deux auteurs de cette chanson (pas le chanteur, car en général, monsieur Halliday ne compose ni n’écrit, il se contente d’interpréter) de plagiat : ce serait très très ressemblant avec le titre « Madagascar » d’un groupe réunionnais intitulé Ziskakan.

Intrigué, j’ai navigué quelque temps sur le Filet pour en avoir le coeur Net (wouaf wouaf). Eh bien, il semblerait que ce soient surtout les mélodies qui se ressemblent… mais difficile à dire, car lorsque je cherche à prendre connaissance des textes, on me somme de télécharger un clip ou une sonnerie de « portable » (de mobile). Et, bien évidemment, on m’invite aussi à à faire chauffer ma carte Visa pour payer le clip, en acheter d’autres, vous voyez le topo. Ben non, moi je veux juste voir si les chansons sont voisines… vous imaginez mon mobile claironnant « Jamais seul » avec la voix de Johnny ?

Mais j’ai quand même pu obtenir les paroles de la chanson « Jamais seul ». Il semble d’ailleurs, à lire ces phrases,  que monsieur Halliday soit plutôt satisfait de cet état de fait (de n’être jamais seul). Dont acte ! Mais que déduire de ces deux passages antagoniques : « Seul au milieu de tous » , et « Jamais, non jamais seul » ? il faudrait savoir…

Tiens, je ne résiste pas au plaisir de vous communiquer ici ce texte, dépouillé de sa musique : rien de tel qu’un poème sans musique pour en apprécier la profondeur. J’ai au passage corrigé quelques coquilles, » fuit », » fuis », etc…

———————————

J’ai toujours fui l’ennui et pas la solitude
C’est pas toi qui m’ennuies mais les habitudes
J’ai toujours fui la nuit, celle de ma solitude
C’est pas toi qui me nuit mais tes attitudes

[Refrain]
Seul au milieu de tous
Jamais, non jamais seul
Non jamais, non jamais seul

J’ai toujours pris l’envol mais pas les altitudes
Là-haut sur le col de ma solitude
Cette peau qui me colle, mon âme qui se dénude
Ce dernier verre d’alcool, c’est ma solitude.

————————-

C’est pas beau, ça ? Tiens pour vous refaire les neurones après un texte de ce calibre, allez donc butiner du côté de la belle chanson de monsieur Moustaki, Georges : « Ma solitude« . Curieuse ressemblance, il se trouve que lui aussi n’est « jamais seul » :

« Non, je ne suis jamais seul / Avec ma solitude« .

Bon, je vous laisse seul avec votre solitude.

Tibert

Redondons donc

Je lis ça sur une documentation technico-commerciale (il s’agit d’un récepteur TV par satellite)  :  » Avec un tel produit, la qualité de réception est d’excellente qualité« . Poussant un peu le bouchon, posons-nous la question : l’excellente qualité de la qualité est-elle de qualité ? va savoir…

Et je pourrais vous épargner les « températures extrêmement froides » (c’est de saison), ou les « dimensions très longues« , mais non je ne vous les épargnerai pas, parce que ces âneries sont proférées quasiment tous les jours de ci et de là.

Faudrait-il préciser que la température est un nombre faisant référence à une échelle (*) – servant à caractériser un état thermique – et que des nombres sur des échelles ne sont ni froids ni chauds ? tout au plus faibles, importants, élevés, bas… bref des nombres !

Un billet pour vous raconter ça ? ben oui. Car on veut nous inculquer l’anglais dès la Maternelle ; quant au français, alors là…

Tibert

(*) rappelons que l’échelle Farenheit des Etats-uniens – ils sont officiellement les seuls à utiliser cette échelle –  met l’eau de mer gelée à zéro, et l’eau pure gelée à 32, après quelques tâtonnements. L’histoire ne dit pas si monsieur Farenheit est allé faire ses mesures dans la Mer Rouge (on en doute, elle gèle rarement), la Mer Morte (idem, et en plus le sel gèle mal), ou la Mer Blanche (celle-là, elle est quasiment toujours gelée). La température de la Mer Blanche est « extrêmement froide« , n’est-ce pas !

Du rosbif, sinon rien

M’apprêtant à écrire ce billet, j’aperçois sur mon dashboard à droite le bouton « Save Draft« . A vrai dire, j’utilise un logiciel non francisé, tant pis pour moi.D’ailleurs la plupart des logiciels ne sont plus francisés, c’est fatigant. Donc, soit on a recours aux pictogrammes, façon IKEA, soit c’est le Rosbif, le mono-linguisme.

Le ministre de l’Educ’Nat’ – ou plutôt de ce qu’il en reste, la barbarie aura bientôt eu sa peau – propose d’organiser l’apprentissage de l’anglais dès l’âge de 3 ans ! avec des enseignantes bien de chez nous, je suppose… déjà que l’enseignement du français, hein, à voir les résultats…  on causera anglais, en Maternelle, presque aussi bien que français. Super !

Hier dimanche – en Belgique on manifeste le dimanche, ils n’ont pas les 35 heures et les RTT – des tas de Belges, des 2 bords linguistiques, ont organisé une Marche de la Honte. Ils en ont marre, et je les comprends, de leurs politiciens, infoutus de former un gouvernement bilingue qui tienne plus de 3 jours. Donc ils défilent dans les rues de Bruxelles, une fois, avec en tête, bien lisible, une gigantesque banderole où l’on peut lire SHAME.

J’ignore comment on écrit « honte » en flamand ; probablement le mot néerlandais schande, variante de l’allemand Scham, toujours la même racine saxonne, comme shame. Mais j’ai honte pour les Belges ; ce « shame » est minable ! bilingue, ce pays ? alors on écrit « Schande / Honte » sur le calicot, ou « Honte / Schande »…. bon sang, mais c’est bien sûr !! Ils n’ont pas été foutus de se mettre d’accord sur l’ordre des 2 mots. Alors ils en ont pris un troisième, qui n’avait rien à faire là. Du rosbif, forcément !

Tibert

L'hôpital et la charité

Un petit additif à mon pénultième billet (le précédent, si vous y tenez) ; en effet, parcourant la presse, je retombai il y a quelques minutes sur l’article de Libé qui avait inspiré ma plume hier. Un détail (de l’Histoire) m’avait échappé.

On rapportait dans l’article en question les propos de Pierre Laurent, Grand Chef Sioux du PCF, du moins de ce qu’il en reste, allié objectif  et consentant de M. Mélenchon. Pierre Laurent  déplorait «l’amalgame humiliant fait entre Jean-Luc Mélenchon, dont l’engagement contre l’extrême droite est incontestable, et l’héritière du trône du FN».

Cocasse, non ? qui est Pierre Laurent ? le fiston de Paul Laurent, un des 3 ou 4 apparatchiks – avec Roland Leroy, Georges Marchais, André Lajoinie… – qui ont piloté (droit dans le mur, d’ailleurs) le Grand Parti des Travailleurs pendant des années.

Le fils de son papa du PCF qui vitupère l’ « héritière du trône du FN » : ma parole ! c’est la marmite qui se moque du chaudron.

Tibert

Un peu de géométrie plane

Monsieur Plantu, caricaturiste, a vexé M. Mélenchon, lider maximo du Front de Gauche : sur une de ses récentes planches, on y voit Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon, côte à côte, haranguant leurs groupies respectifs avec le même texte intitulé « Tous pourris ! » , les 2 textes-papyrus se rejoignant d’ailleurs à la base !

Commentaire de Jean-Luc M. : « «Stupide politiquement, ce dessin amalgame deux programmes et traditions politiques diamétralement opposés». Et toc ?? ben non, pas vraiment. Car, revoyons un peu nos fondamentaux en géométrie… si le programme du FN (les Politiquement Corrects bien éduqués écrivent « F-Haine » : c’est spirituel mais cocasse, cette haine des gens réputés haineux), si donc ce programme est excessif, délirant, détestable, traçons un diamètre FN-FG du cercle politique Grand-R de notre beau pays Grand-F, et prenons le point FG diamétralement opposé au point FN… vous y êtes ? que trouve-t-on ? un programme excessif, délirant, détestable.

CQFD, Tibert

Populismes diamétralement opposés

Le Marais ou le 9-3

Un titre de l’Hibernation m’a interpellé : « Ils occupent les archives depuis 124 nuits« . Ah ? qui sont-ce ? et l’article étant clair comme du jus de boudin, nul de chez Nul en termes journalistiques, et n’ayant ainsi pas plus éclairé ma lanterne, voulant en avoir le coeur Net, je suis parti à la pêche avec le Filet (la Toile, en fait, c’est un filet : une toile très très ajourée !). Et je suis ainsi arrivé aux conclusions suivantes :

Les Archives Nationales sont logées dans le Marais à Paris, non pas avec les moustiques, la malaria, les pieds dans la vase, mais dans des bâtiments qui n’ont jamais été conçus pour y stocker des archives : de superbes hôtels particuliers, des monuments historiques ! L’Hôtel de Soubise, tout ça…

Mais le Petit Nicolas, qui porte en lui depuis longtemps ce projet de « Maison de l’Histoire de France », a tranché. Difficile, car le lieu choisi était en concurrence avec 6 autres emplacements, je cite : « le château de Fontainebleau (écarté par le ministre de la culture, Frédéric Mitterrand), l’hôtel des Invalides (qui faisait l’objet d’une opposition forcenée des militaires), l’hôtel de la Marine, le Musée des arts et traditions populaires, l’île Seguin (qui nécessitait la construction d’un bâtiment) et le château de Vincennes« . Il a tranché : ce serait l’Hôtel de Soubise !  et toc.

Notons au passage que nulle part il n’est fait mention, dans la citation ci-dessus, des municipalités où se situent ces monuments. L’hôtel de la Marine, à Brest ? tout faux, c’est à Paris. L’hôtel des Invalides, à Verdun ? eh non, c’est à Paris. TOUT ça est à Paris ou juste à côté, évidemment. Sauf Fontainebleau.

(Au fait, justement, pourquoi le ministre de la Culture ne voulait-il pas aller à Fontainebleau ? parce que ça l’obligeait à prendre un train de banlieue.)

Et comme, bien évidemment, le lieu choisi par notre vénéré Président est déjà occupé, on annonce aux fonctionnaires qui travaillent là (faisons-leur la grâce de supposer qu’ils travaillent, vu qu’on les paye avec nos sous) qu’il va falloir dégager. Bouge de là ! et tiens, y a de la place à Pierrefitte-sur-Seine, dans le 9-3, c’est cool là-bas, on y va en RER, des bâtiments exprès pour vous, vous y serez comme des coqs en pâte.

Pas du tout d’accord, les fonctionnaires ! ils y tiennent, à l’hôtel de Soubise, ils ne veulent pas en bouger. Les envoyer dans le 9-3, non mais ça va pas ?  et paf, ils occupent les lieux, faudra leur passer sur le corps et toutes ces sortes de choses.

Moralité : un musée de plus à Paris, on en manquait ! moi j’aurais bien vu Soissons (le vase), Vichy (1940), Poitiers (Charles Martel), Reims (la Pucelle), Niort (avec les mutuelles, et pour y mettre un poil d’animation). Mais non : Paris, y a pas moyen, P-A-R-I-S, un Paris, sinon rien.

Et puis on aurait pu installer les fonctionnaires de l’hôtel de Soubise et leurs archives nationales dans un coin plus plaisant, comme Gap, Bayonne, Lorient, Bourges, que sais-je ? qualité de vie gnagnagna, fini le métro, air pur, plus d’embouteillages à Fleury-en-Bière, moins de queues, logements enfin de taille décente… ben non : le 9-3 ! la punef’, quoi !

Résumons-nous : en matière d’aménagement du Territoire, on en est encore à l’ère napoléonienne, voire néolithique. La grosse verrue ventrue et hypertrophiée dans son Bassin très Parisien, ça va probablement durer encore un peu. Bon courage et patience, les amis.

Tibert

Divine addiction

C’est ce qu’on appelle une « perle ». Pas une « perlouze », non, une « perle » :

« Dieu a choisi le mauvais cheval en pariant sur l’humain« .

A rapprocher du célébrissime « Dieu ne joue pas aux dés » proféré un jour de mauvaise digestion par Albert Einstein, fâché qu’on ne puisse calculer précisément la vitesse ET la position d’une particule – son pote Heisenberg venait d’énoncer péremptoirement que si l’on était précis sur la vitesse, alors la position demeurait floue, et inversement.

A quoi Niels Bohr, autre pointure de la physique, aurait répliqué, car il était pieux, lui, et à cheval sur les principes d’incertitude : « Albert  – vous permettez que je vous appelle Albert ? – cessez de dire à Dieu ce qu’il doit faire !« .

On remarquera aisément, si l’on ne s’est pas endormi sur l’écran blême de son ordinateur, que les 2 premières citations se contredisent. Car si Dieu joue au PMU (« … a parié sur le mauvais cheval« ) c’est qu’il est adepte des jeux de hasard, et claque bêtement le fric de sa paye au lieu de le rapporter à sa femme pour faire bouillir la marmite. Tandis que le grand Albert E. professe, lui, que Dieu n’a pas du tout ce genre de vice, qu’il a un minimum de principes, qu’il ne joue pas l’apéro au 421 avec le Saint-Esprit sur le comptoir du Zanzi-bar en bouffant un oeuf dur écalé et saupoudré de sel,  tout en éclusant un ballon de Sauvignon bien frais.

Cher lecteur (je m’adresse ici à l’humain, le Genre Humain : le mauvais cheval, donc, suivant la citation liminaire de ce billet, et du coup ça me dispense de me fendre d’un « chère lectrice, cher lecteur », fatigante manie verbale des politiciens), cher lecteur, donc, je vais vous le donner, moi, MON point de vue sur l’intéressante polémique qui oppose Albert Einstein, Niels Bohr et le quidam inconnu qui a commis la phrase sur Dieu et le mauvais cheval :  non seulement Dieu joue aux dés, au PMU, au Black Jack, au bandit manchot, au Poker menteur… mais de plus il est infoutu de prévoir ce qui va sortir. Et c’est tant mieux : il n’y a rien de plus barbant que ces jeux de hasard où l’on connaît le tirage à l’avance, c’est plus du jeu !

(à moins que Dieu n’existe pas ? alors là… mais bon, ça dépasse le cadre de ce blog)

Tibert

PS – d’où sort cette « perle » ? où l’ai-je pêchée ? eh bien, je jouais les pêcheurs de perles sur le Filet  : le « Net » (il faudra un jour qu’on cause sur la traduction de « net »  : filet, par « Toile », ça va loin ! ) et je suis tombé sur un affreux fait divers ! une femme de 31 ans avait abandonné le soir tard, dans la rue, sa fillette de 7 ans afin d’aller faire la fête. On a pu recueillir la fillette désemparée, et après quelques recherches, retrouver la mère en pleine nuit, bourrée comme un coing, et au volant de sa voiture, jouant à griller des feux rouges aux croisements. C’est le courrier des lecteurs qui m’a livré la matière première de ce billet : merci, courrier des lecteurs !

Discrimination positive ?

Un peu marre de tenir la plume, ou l’occasion qui fait le larron ? un peu des deux, une lectrice auvergnate m’a fait parvenir ce billet – en français, est-il besoin de le préciser ? – et ma foi, le sujet vaut la peine qu’on lui ouvre la diffusion qu’a ce petit et modeste blog. Ni censuré, ni réécrit, tel quel, copié-collé, le texte reçu… mais c’est moi qui ai ajouté le titre : il n’y en avait pas. Cette rédactrice a signé Alice. Alice, c’est à vous !

Tibert

—–

Samedi 15 janvier, dans le train TEOZ 5966, à Clermont-Ferrand s’installent sur un espace de six places deux jeunes-filles époustouflantes de vulgarité tant dans leurs vêtements, leur maquillage que leurs propos qu’elles tiennent haut et fort. Je me rassure en voyant qu’elles n’ont pas de bagage. Sans doute vont-elles descendre à Riom, Vichy ou Moulins. Inutile donc que je change de place pour être au calme.

Un contrôleur se présente. Elles n’ont pas de billet. Elles vont à Paris. Il s’assied près d’elles, discute à voix basse, sort son appareil de contrôle. Il parle très longuement avec elles, s’en va et s’en revient deux fois. J’observe la scène avec curiosité : va-t-il avoir le courage de les verbaliser vu le charme qu’elles déploient… mais j’aperçois une pièce d’identité.

Lorsqu’ il est reparti, l’une des jeunes-filles prend son téléphone mobile pour appeler la mère de sa copine, et reprenant le ton de voix qui lui est habituel raconte à la cantonade : « On voulait prendre un covoiturage mais ça n’a pas marché. Alors on a pris le train sans billet. Mais, c’est super, le contrôleur était un arabe (sous-entendu – comme nous -), alors il ne nous a fait payer que 5 euros + 1 euro… heu 11 euros. Il nous a dit qu’il était obligé parce qu’il y avait du monde autour sinon il nous aurait laissées passer comme ça » .

Moralité : pourquoi payer un billet plein pot et même à tarif réduit ? Il suffit d’être « arabe » (sic), de rencontrer un contrôleur lui-même arabe (re-sic) et le tour est joué !

– PS – ça ne marche pas dans l’autre sens : peu après un monsieur assis tout proche a dû sortir sa carte bancaire pour un billet de train qui n’était plus valide. Comme il avait un comportement normal je n’ai pas su combien il avait dû payer, mais certainement pas 5 €. Pourtant le contrôleur était de type européen et le monsieur aussi !

Alice

Grosse Commission

Une bourde ? vraiment ? Incidemment, écoutant une émission radiodiffusée hier, j’entendis dire que la Commission Européenne avait diffusé à plus de 3 millions d’exemplaires un « calendrier » européen » qui mentionnait un tas de fêtes laïques, mais aussi confessionnelles, Sikh, musulmanes… mais pas les fêtes chrétiennes. Aucune fête chrétienne !

Bon, je veux bien que fêter la montée de la Sainte Vierge en ascenseur (Roux-Combaluzier ? Otis ? )le 15 Août soit un peu kitsch, mais si l’on veut trouver du kitsch dans les autres religions, il n’y a qu’à se baisser ! On trouvera aussi con chez les voisins, et aisément, tant les religions – toutes les religions- sont niaiseuses et imprégnées de niaiseries.

L’Europe a des racines chrétiennes ; le nier est débile et malfaisant. Donc, messieurs-dames de la Commission, soit on cite les religions (toutes, et en premier la chrétienté, précisément à cause de cet héritage), soit on explique que l’Europe est basée sur la laïcité, et on zappe toutes les religions, et pas seulement la chrétienté. C’est logique, non ?

La Commission a reconnu une « bourde », et promis de corriger. Mais le mal est fait, en tout cas mon opinion est faite sur les zozos qui ont commis ça : des malfaisants. Dans une entreprise, ça vaudrait la Faute Lourde, et à la lourde !

Tibert

(Almost) only for french-speaking / writing people

Hello, this is the Great Administrator of this blog writing – for a small warning : I often find comments on my posts, comments in english. To be honest, more comments in english than in french.

I’m not trying to get the biggest number of comments on my blog ; I don’t give a damn for that. Moreover, I will discard systematically all comments written in english.

Why ?

– first, english sounds weird to my ears. It’s almost impossible to ear the « r », the « w » is uttered like a mashmallow betweeen the cheeks… hard to listen, hard to speak, not to mention our « ze » where we should say « the ».

– second, this is a french blog, and I like my language, I like it very much, and I’m proud of it.

To sum up : if your comments are written in french, OK… otherwise –> right-clic –> delete !

English-writing Tibert