Lôcoste a encore frappé

La SNCF, dans un esprit d’équité, continue à traiter comme citoyens de seconde zone ses « usagers » (clients, en français) non té-gé-vé-isés, qui se tapent les restes des Coraux (? les coraux ? les trains Corail, quoi, soupirail corail vantail etc…) qui fonctionnent encore à coups de papier collant et de bouts de ficelles. En 2025, qui sait, les Arvernes, les Massifs-Centraliens auront peut-être l’insigne honneur de rallier en Tégévé la Ville-Lumière que le Monde nous envie, sans laquelle n’existeraient ni le Paris-Beurre ni le Paris-Brest ni le filet de boeuf à 35 euros le kilo.

Pendant ce temps le TGV, le train que le Monde nous envie, bénéficie de toute la sollicitude 1°) de ses exploitants 2°) des journaleux. Tenez, le Figues-Haro nous régale ce matin d’un « TGV low-cost lancé au premier semestre 2013« . Le principe : vous achetez votre billet en ligne (tant pis pour vous, bouseux qui n’avez pas l’ADSL, le 3G+ ou la fibre optique) sur la Toile, vous vous coltinez vos bagages à pied jusqu’au au fin fond de la gare de banlieue de Bécon-les-Chevreuse, et vous poussez pour démarrer le train. Des éclairages individuels sont disponibles en y insérant 4 piles alcalines AAA. On peut apporter son manger.

Mais ce qui est remarquable, et ce pourquoi ce billet a été écrit, c’est encore low-cost-le-retour. Les journaleux du Figues-Haro a-do-rent les anglicismes. Le ou la Fashion Week, le ou la Street Food, tout ça… que voulez-vous, la promotion du Rosbif a ses exigences. J’ai déjà fait remarquer que ce n’est pas bas-coût, mais bas-prix : les coûts bas ? on n’en sait absolument rien, et on s’en fout – seul le prix à payer et le service rendu importent aux usagers (aux clients).

Hélas le français (tout comme l’italien) ne dispose pas de « cheap » (5 lettres), billig » (6 lettres), et autres « barato » (6 lettres), qui, c’est merveilleux, expriment « bon marché » en un seul mot. Ah si l’on pouvait tout exprimer en mots simples, courts, quel bonheur pour les journaux. Le rapport images/ texte s’en trouverait grandement amélioré. Je ferai juste remarquer que « low cost » (7 lettres) ne fait pas mieux que « pas cher », qui, vous me l’accorderez, a exactement le même sens que « bon marché » (9 lettres, interminable !). « Un TGV pas cher lancé au premier semestre 2013« , aurait pu titrer le Fig’Machin. Hélas, ça ne le fait pas, c’est juste du français.

Et puis, tiens, à propos de trains… Low-low-Cost, hein, ça la fout mal.

Tibert

Salmigondis blasphématoire

Un cheval, une alouette : la recette du pâté d’alouette.

Henri Bauchau est mort… avant-hier. A Louveciennes, banlieue parigote. Ecrivain Belge, comme Amélie Nous-tombe, mais sans chapeaux destinés à relever la fadasse et maigre soupe littéraire. A tenter de trouver des échos de cette mort dans les canards, on perdrait son temps : Bauchau ? connaît pas. Tant pis pour eux.

L’Assemblée des Départements tenait congrès… « Les départements cherchent un sens à leur existence« , titre L’Hibernation. Quel sens ? le sens de la sortie, on l’espère ! pouvoir aller à cheval en un jour, pas plus, à la Préfecture… allez, du balai les départements, si l’on passait au 21ème siècle ? la Région fera farpaitement l’affaire, ça amincira les structures de gouvernement, leur donnera plus de réactivité. Amincir ça fait du bien – voyez Normal Premier, comme il est plus alerte depuis qu’il a minci.

Le blasphème est partout. Maintenant on veut traîner en justice (civile,laïque, hein, justice laïque !) ceux qui « blasphèment » une religion, les accusant de mettre en danger la vie d’autrui. En somme, plutôt que de s’opposer aux enragés et aux excités, on s’attaque à ceux qui risquent de contrarier les enragés. Chuuut ! faut pas les réveiller, ça les rend désagréables.

Notez bien, le blasphème c’est l’injure envers son Dieu – le sien, ou à la rigueur ses représentants patentés. Bien entendu, dans un état qui se réclame et s’inspire d’une religion obligatoire, le blasphème est un délit… tenez, en France, en 1766, le Chevalier de la Barre, qui avait omis de saluer une procession (catholique, what else ? ), eut le poing droit coupé, la langue arrachée, et fut décapité avant qu’on brûle son corps (insigne clémence obtenue en appel, car « normalement » le programme des réjouissances prévoyait le bûcher sans décapitation). Qui c’est qui veut pas saluer la procession, maintenant ? hein ? non mais…

Personnellement je doute fort que les gars qui caricaturent Machin ou Truc y croient, à Machin ou Truc : il ne s’agit donc pas, en ce qui les concerne, de blasphème : ce sont des entités abstraites qui ne leur sont rien, on ne blasphème pas rien. Et dans un état laïc, le blasphème ne dérange que les religions concernées ; la Justice n’a pas à en connaître. Que les grands Mamamouchis offensés les excommunient donc, ou équivalent, ça leur fera les pieds, aux caricaturistes.

Tibert

1244 para(chutes)-publics

Il existe chez nos gouvernants, pour évacuer les budgets qui dérapent et les dérives de gestion trop visibles, il existe donc, disais-je, la solution de créer des « Agences Publiques ». Et (*) ça fonctionne si bien, que tout ça finit par aboutir à 1244 agences, rien de moins. On en pourrait dresser un inventaire à la Prévert, Popaul-Emploi par exemple, ou le CNC pour le cinoche… (**)

C’est u lièvre que « Le Parigot hier en France » a levé, mais comme l’article développé était payant, je me suis rabattu sur sa version gratosse chez Le Figaro. « Le grand gaspillage des Agences Publiques ». Car tandis qu’on nous fait les poches à fond à fond le plus légalement du monde – on a voté pour, non ? – les Agences Publiques vivent apparemment sur un grand pied, insouciantes de la Crise et du Redressement (progressif, attention, progressif, en deux ans) de la France. Leurs budgets se cumulent à environ 65 milliards d’euros, rien que ça : on devrait bien pouvoir y gratter quelques picaillons, nous  disent les inspecteurs de l’Inspection Générale des Finances.

Lisez, mes amis, l’article du Figues-Haro en question. Vous comprendrez mieux pourquoi on a besoin de nos petites économies, en haut lieu.

Tibert

(*) Je sais, je sais, on ne devrait jamais commencer une phrase par « Et », encore moins un paragraphe. Mais (idem, « mais », même punef, jamais en début de phrase !) les règles stylistiques sont faites pour être enfreintes, avec discernement et Moderacion, caramba !

(**) Il existe même l’ubuesque et oxymoresque CNFPT : Centre National de la Fonction Publique  Territoriale  !!  une suggestion : et si l’on déléguait en Province des bouts du CNFPT  ? ça donnerait les DTCNFPT : Délégations Territoriales du Centre National de la Fonction Publique Territoriale. Chouette, non ?

Parti(e) pris(e)

La journaliste Caroline Fourest « prise à partie » à la Fête de l’Huma… vous pourrez voir sur le site dont je viens de vous donner le lien, la prise à partie » en question.

Au courrier des lecteurs de L’Humanité – canard que je ne consulte que fort rarement, je l’avoue – un intervenant rouspétait hier car selon lui « prise à partie » comportait une « grossière faute d’orthographe ». Le sujet méritait plus que des commentaires de type formel, mais bon… alors, où est la faute d’orthographe ? hein ? « prise à partie« … Madame Fourest étant féminine (féministe, même), « prise » ça colle… partie, pardi ! le monsieur voulait sans doute qu’on écrivît « parti » : »prise à parti« . Parti communiste, bien entendu, ou Parti de Gauche, à la rigueur.

Alors qu’en est-il ? eh bien, chers auditeurs, c’est « prise à partie« . Juridiquement une « partie » c’est l’un des deux partis qui s’opposent, le plaignant et la partie adverse, le défendeur. « Prendre à partie » c’est attaquer, quasiment en justice. « Prendre à parti » c’est du charabia-n’importe-quoi. Merci Maître Capello.

Merci Maître… mais derrière cette importante mise au point formelle, et quelle que soit l’opinion que l’on puisse formuler sur les positions politiques de Caroline Fourest, on doit dire haut et fort – après avoir vérifié l’orthographe – que la liberté d’expression est essentielle à la démocratie ; que ceux qui tentent de la baillonner sont des sectaires et des nuisibles ; que le débat était possible (on  était là pour ça, en principe) et donc que rien n’excuse les vociférations et les intimidations. J’ai assez critiqué les lois liberticides dites « mémorielles » qui dictent la Bonne Histoire sous peine de poursuites ; au vu du sabotage du débat dont je vous parle, les intervenants musclés et tapageurs y ont donné une assez bonne idée de ce qu’ils proposent comme forme de démocratie.

Tibert

Egales, égaux

Les référendums, en France, servent une fois tous les 25 ans, sauf à invoquer les initiatives européennes.  En effet :

1° Premio – il est oiseux de demander aux « Françaises-et-aux-Français » (bref : aux Français) leur avis sur des sujets aussi futiles que le mariage homo  (*) ou le droit de vote des étrangers aux élections locales. Pourquoi pas un référendum sur le datage de la cueillette des abricots, hein ?

2° Secundo – On sait à l’avance le résultat : ce sera NON. Qu’est ce que vous voulez, ils sont obtus, attardés, vieux jeu, indécrottables : faut leur forcer la main. Donc pour redresser la France il importe de ne surtout pas demander leur avis aux Français. Avec les parlementaires, en revanche, dociles et habitués qu’ils sont à voter pour les copains en cas d’absence, ça passera comme sur du velours.

Donc conformément aux promesses électorales de Normal 1er, on va nous légaliser par voie parlementaire le mariage homo : Madame Taubira parle d’égalité pour tous. Et dans la foulée, s’agissant de la procréation assistée, égalité pour tous, y a pas de raison, on va aussi élargir ça aux homos.

Sauf que… sauf que, là,  y a pas égalité. Sauf erreur de ma part, si inséminer artificiellement une femme devrait pouvoir le faire, s’agissant des hommes, en revanche, j’ai des doutes. Pas si égaux que ça, en définitive.

Tibert

(*) j’ai horreur du mot « gay » pour désigner les homosexuels. D’abord c’est du Rosbif ; ensuite ce n’est surtout pas gai, je ne vois pas où est la gaieté là-dedans. Et c’est discriminatoire : pour être complet il faut y ajouter les lesbiennes, les bi-sexuels, les trans-sexuels, les… : c’est trop long, sauf à vexer une catégorie. Donc « homo » me paraît à la fois concis, précis et assez dans notre langue : je vote pour.

Journalisme de cons bas

Le  journalisme haineux et bas de plafond a encore frappé. On se souvient des attaques ad hominem (« le nabot »…) qui fleurissaient il y a peu dans la presse dite de gauche. Et ça revient de plus belle, avec le poussif « casse toi riche con » lancé via Libé-ration au patron de LVMH. Lamentable jeu de mots laids.

Que veut-on dire là ? d’où parle cette insulte bas de gamme ? on peut la mettre en parallèle avec la non moins fameuse boutade de Mélenchon:  « qu’ils s’en aillent tous ! « . Que les « riches » (que Normal Premier n’aime pas, d’ailleurs lui-même est juste un poil sous le seuil de l’ISF, c’est tout bon), que les riches se barrent ! du vent ! qu’on reste entre pauvres.

Et le rédac’ chef adjoint de Libé de nous expliquer qu’ils ont voulu faire le lien entre le Sarkozysme et Bernard Arnault. Il faut croire que ce lien n’était pas évident, monsieur LVMH n’ayant pas attendu N.S. pour gagner beaucoup d’argent. Mais suivez mon regard : Sarko est réputé avoir outrageusement favorisé les riches (le bouclier fiscal, tiens ! sauf que le bouclier fiscal c’est Villepin qui l’a mis en place). Sarko c’est le fric ostentatoire, le Fouquet’s avec sa mousse-pression à 4,60 euros, que ni Mélenchon ni Normal-Moi ni le rédac’ chef adjoint de Libé ne peuvent se payer, vous pensez bien. Donc, nous dit Libé en substance, Sarko=Arnault, donc pareillement haïssables, CQFD !

Il faut bien ici constater que le Sarkozysme a échoué sur au moins un point. Ce fut une tentative de décomplexer le rapport à l’argent, façon amerloque. Là-bas on ne cache pas ses sous, on ne rase pas les murs si l’on est riche, au contraire de chez nous, où parler ou montrer son fric est inconvenant, quasiment faire un prout public. Le Petit Nicolas s’est planté, la société française est trop coincée pour ça.

Et pendant que la mesurette-phare des taxations des hauts revenus à 75 %, qui va rapporter trois clopinettes et alimenter le buzz détourne l’attention du bon peuple, on lui fait les poches, au bon peuple. Nous serons donc plus pauvres, c’est nettement plus estimable. Et c’est, rassurons-nous, pour la bonne cause, pour redresser la France en deux ans pas plus, foi de Normal.

Tibert

Du "bashing" de Normal Premier

Aïe aïe aïe ce qu’ils sont versatiles nos journaleux. Il fut quelques mois ils chantaient les louanges du chan-ge-ment main-te-nant !! (il se trouvait par hasard que le changement passait par l’élection de Normal-Moi) ; les voilà aujourd’hui pleurant l’absence d’initiative de Moi-Président. Ah là là ma pauvre dame, jamais contents. Il est vrai que la rouspétance fait vendre : si vous affichez en Une que tout baigne, à quoi bon lire la suite ? hein ? tandis que si vous hurlez que c’est aff-freux, on va vouloir savoir pourquoi.

Mais attendez ! pour enrichir la jargonitude journaleuse, et ne pas perdre la main dans la promotion de l’anglais rampant en France, voilà que nous avons droit au Hollande-bashing. Et comme pour tout néologisme rosbifiant en « …ing », on « fait du…ing ».  Donc « On fait du bashing »  : bash c’est frapper ; un bashing c’est une raclée. C’est devenu par image le dénigrement, la critique systématique. Ca le fait tellement mieux de « faire du Hollande bashing » que de dénigrer Hollande, débiner Normal-Premier, asticoter Moi-Président, critiquer, éreinter, quoi…

Et le plus marrant, c’est qu’on a théorisé, chiffré, jaugé l’effet commercial de l’éreintement du François. Tenez, dans l’article du Monde dont auquel je vous ai filé l’hyperlien, « le patron de L’Express reconnaît que les unes anti-Hollande ont propulsé les ventes au numéro de 75 000 exemplaires à 95 000« . Certes, les mouches ont changé d’âne, mais si je comprends bien, si j’extrapole, ils se sont fait des couilles en or, nos brillants journaleux, à taper ( faire du bashing ) sur le Petit Nicolas. C’est ça le business, coco !

Ttibert

N'importe qui sauf…

Je vois les gros titres des divers torchons journalistiques spécialisés dans la glose vaseuse et inutile sur des évènements déjà survenus, assimilés, digérés. Je vois tous les jours des accroches en Une, du type « Oh François, ohé monsieur Hollande, on va où là ? qu’est-ce que vous foutez ? y a le feu gnagnagna… urgence… bougez-vous… on est déçus… ».

Je vois la cote (pas la côte – côtes-du-Rhône, côtes de Nuits, miam… , non, ni la cotte : la cote, quoi, le baromètre d’amour !) de monsieur Normal Premier se mettre en berne tous les jours un peu plus. Et je me dis, je vous le dis aussi car je suis partageux sur ce plan-là :

Quoi de plus normal ? le programme était le suivant :

– 1° premio – déboulonner Nicolas S. Ne plus voir Nicolas S. Chasser le Petit Nicolas. Du balai, du vent, dehors, marre de Nicolas Sarkozy. Et tous les journaleux de la planète journalistique de hurler dehors Sarko.

– 2° deuxièmo – défaire tout ce que Sarko a fait. Bon ? pas bon ? on s’en fout. On défait tout.

– 3° troisio – ensuite ? heu… ensuite… voyons voir… hem… eh bien…quelqu’un a une idée ?

Tibert

Rappels de piqûres, et inversement

Le dimanche, on a la paix dans sa boîte à messages, pas de spam, pas de pub’ : ça fait du bien. Le dimanche on a les journaux-sur-Toile étrangement identiques à ceux du samedi soir. En somme, ça roupille sur l’Internet, le dimanche. Sauf que, sauf que… ah si, le Figaro a pondu un truc « de fond »… ‘ctionnaires, ce marronnier journalistique. « Et si on s’attaquait aux privilèges ? »

Et si ma tante en avait deux, ce serait mon oncle…

Car le statut inique (lit. : inique : « qui n’est pas égal ») de la Fonction Publique colle à la démocratie française comme la bernique à son rocher, depuis la Libération de 1945 : 66 ans de crypto-Démocratie Populaire, intoxication aigüe. L’Etat, et surtout l’Etat-PS, aura un mal fou à se réformer – se renier – en revenant à des principes sains et républicains :

de démocratie : Un Droit du Travail, pas deux… les Français sont supposés égaux… mais cause toujours, la Première Classe et les grouillots…!  le salaire des 6 derniers mois contre les 25 « meilleures » années, l’indéboulonnable contre la plume au vent, etc.

de bonne gestion : la grande majorité des Services Publics peut être assurée par des salariés « ordinaires », ou des sous-traitants, à la triple condition 1) de cahiers des charges exigeants et précis, 2) de remises en concurrence fréquentes, 3) de contrôles sérieux. La Fonction Publique Territoriale, notamment, regorge de fonctionnaires inutiles – non pas inutiles parce qu’ils ne bossent pas, je n’en sais rien (*) ; mais inutilement fonctionnaires : leur statut « public » est injustifié et ruineux. Ce n’est pas une fonction d’Etat que de nettoyer les talus sur les Départementales.

Bon, je l’ai déjà écrit, tout ça… plusieurs fois.. et ça avance pas des masses… je vous le demande, à quoi ça sert que Tibert y se décarcasse ?

Tibert

(*) Les blagues sur les Fonctionnaires ? rien que des méchancetés malintentionnées, de la jalousie… tiens par exemple, celle-là concerne une Administration Départementale que je ne nommerai pas, par charité : dans chaque équipe, il y a au moins 2 types qui bossent : celui qui surveille celui qui surveille si le Chef n’arrive pas.

PS – Ah j’oubliais ! trèèès important ! Johnny Halliday, ayant eu.. et ayant quitté l’hôpital de … pris l’avion de …. vers… arrivé à … est actuellement allé pisser. Un scoop, carrément.