Couloirs de bus

Merci à la municipalité de Nantes (Clermont-Fd, Lyon, Marseille, Paris etc … ) : on bouchonne à qui mieux mieux en bagnole le matin et le soir, cependant que sur le couloir de bus voisin le désert règne. Un bus toutes les 1/2 heures au mieux : les hérissons pourraient traverser tranquillement. Mais la bande blanche sadique est là : c’est un couloir de bus (quand il y en a) et pour rien d’autre, sauf les hérissons.

Un poil d’idées ? A défaut d’avoir vraiment des bus fréquents (ce serait idéal …), une gestion astucieuse des couloirs de bus (on sait prédire quand ils vont arriver, merci le GPS) permettrait de libérer lesdits couloirs pour les voitures quand il n’y a pas de bus, soit 95 % du temps.

Les trains utilisent déjà ce truc depuis longtemps : ça s’appelle le « cantonnement ».

Si ça pouvait donner des idées … mais les municipalités n’ont-elles pas juré d’avoir la peau des voitures ? (sauf pour les élus, eh oh, eux ont des véhicules de fonction !!).

Rose, rose pâle, rouge, plus ou moins …

Fin août 2006 :

Fabius (tourné populo) Royal (nom prédestiné !) Lang (le garçon-coiffeur) StrausKahn (Dom’ la science) Jospin (le pénible disponible) Hollande (voir madame) Besancenot (Krivine en plus sexy mais toujours rrrrévolutionnaire) Laguiller (la der des der, promis – si ça pouvait être vrai ) Aubry (après son éclatante cata sur les 35 heures … ) Gluckman (fossile trotskyste chez les fonctionnaires) Buffet (le PCF respire encore, si si) et pourquoi pas Chevènement (pas à une connerie près) sans compter les divers verts : On se la rejoue avril 2002, on en redemande, et en cinémascope.

Bref : une gauche en manteau d’Arlequin, nulle, des miettes de gauches, soit pour le Pouvoir, soit pour nous seriner à vomir leur immuable préchi-précha. Travayeurs-travayeuses, le Grand Kapital etc …

On se prépare encore un second tour à suspense : Sarkozy contre Le Pen.

Pôvres de nous.