Histoires d'extrêma

… ou d’extrêmums, si vous y tenez. On s’en fout, c’est du latin de cuisine intégrée, de cuisine américaine, que sais-je ? mais bon, décidons-nous, fixons une orthographe mettable :  un extrêmum, des extrêma, sachant que les anciens Romains n’utilisaient pas les accents circonflexes – aucun des vestiges de claviers d’ordinateurs, non plus que des machines à écrire de l’époque n’en comporte.

Il me souvient, l’automne dernier, avoir constaté que tout allait bien. Santé au petit poil, compte en banque assez bien garni, lieu de vie plaisant, pas de mauvaises nouvelles, tout roulait. Et de me dire en moi-même : ça va donc se mettre à déconner, ça ne peut qu’aller plus mal. En gros, on avait – j’avais – atteint un extrêmum de bonheur et de plaisir de vivre, DONC  j’allais vers une / des inévitable(s) tuile(s), vers un niveau de bonheur inférieur, voire de malheur, question d’échelle.

Et, savez-vous, c’est exactement ce qui s’est passé. Je n’entrerai pas dans les détails (et j’y rrrentrerai encore moins, n’y étant pas entré ni n’en étant sorti), mais bien évidemment, ça ne pouvait qu’aller plus mal, porca miseria (*)!

Eh bien, chers auditeurs, et j’en viens là à mon propos, à la chute de ce billet, c’est exactement ce que je me dirais si j’étais footeux espagnol, aficionado du foot, fana de l’équipe de foot d’Espagne etc : ils sont au top du top, les Ibères, ils planent sur le foot. DONC ils vont vers leur déclin, ils vont se planter bientôt, mal jouer, prendre des buts, c’est mathématique.

Avouez, ça fait du bien quelque part, non ?

Tibert

(*) en italien dans le texte.

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