Comme c’est bien dit !

( Les rebelles au masque… au lieu de leur coller des prunes à 135 euros, il serait moins enrichissant pour l’Etat, mais plus éducatif pour eux de leur infliger quelques heures de travail dans un service de réa-covid (avec masque, gants, blouse, bonnet et tout le tralala), histoire qu’ils voient ce que c’est que choper cette vérole quand ça tourne mal… je pense qu’ils modifieraient leur point de vue sur l’ «inadmissible privation de liberté » et autres antiennes protestataires. )

Ceci dit, au fait : moult pays « musulmans » (où l’Islam est religion d’Etat ou quasiment, les autres croyances étant réduites à la portion rikiki, voire rien du tout, quand ce n’est pas carrément la répression) sont en pétard à cause des caricatures de Mahomet. Ils ne peuvent admettre qu’on moque une religion – la leur, en l’occurrence ; quant à brocarder la chrétienté, le judaïsme et autres, c’est ad libitum ! (*) Le Pakistan est en pointe dans ce domaine, ça n’étonnera personne. Un  Conseil des sages musulmans, sis à Abou Dhabi, a l’intention de poursuivre Charlie Hebdo devant une cour constituée pour l’occasion… et s’est fendu d’une déclaration de principe  où l’on peut lire : « La liberté d’expression (…) doit respecter les droits d’autrui et ne devrait pas permettre d’utiliser les religions dans les marchés de la politique ou dans la propagande électorale ». C’est superbement dit ! il ne reste plus qu’à l’appliquer dans ces pays où l’Islam s’impose à tous, y compris à celzéceux qui n’en sont pas. Messieurs (**), c’est à vous !

Tibert

PS – En Chine, je me suis laissé dire qu’on s’en prend vraiment aux Ouïgours, ces musulmans pas « dans la ligne du Parti » ; ce ne sont pas juste des caricatures possiblement offensantes. Eh bien ? silence dans les rangs des défenseurs du Prophète : personne ne moufte, même pas Erdogan.

(*) Petit rappel, en France, croit qui veut à ce qu’il veut tant qu’il n’emm..bête pas les autres avec sa croyance. Les religions sont des OPINIONS : il y a une variété d’opinions, toutes fondées sur des révélations et des constructions humaines, vu que les dieux, hein, on n’en a pas encore vu la couleur. Le blasphème – insulte à un dieu et/ou à ses prophètes – n’existe donc pas juridiquement, vu que ledit dieu participe d’une opinion.

(**) On ne voit guère de femmes dans ces manifs anti-Macron, anti-France, anti-Charlie. Allez savoir pourquoi ?