Chanteurs de rue

Ma vieille mère égrenait aujourd’hui ses souvenirs de l’occupation. C’était essentiellement des épisodes de sa vie à l’époque, à Melle – Deux-chèvres, ville célèbre pour une troisième. Et, parlant des soldats allemands qui y tenaient garnison : « en tous cas, on pourra dire ce qu’on veut des soldats allemands, mais qu’est-ce qu’ils chantaient bien ! on les voyait descendre la côte (celle qui va du centre du village à la route de Limoges, NDLR) tous les jours en chantant ».

Evidemment, « Heilo, Heilo » comparé à « avec l’ami Bidasse » …

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Recopiez ces symboles *