Le Q s’en mêle et le T fâche

(Trois gosses entre 9 et 12 ans se sont noyés hier dimanche, seuls, dans un endroit interdit à la baignade, aucun ne sachant nager ! bravo les parents : éducation et prévention ! Au passage, combien de noyades chaque été ? euh… c’est sûr, prévenir les noyades ne rapporte  pas de fric, contrairement à la Prévention Routière. Donc nulle urgence de prendre, comme sur les routes, des mesures spectaculaires, absurdes et inefficaces… mais juteuses ! On continuera donc à se noyer tous les étés.)

Mais au fait, la baignade : à Londres quand il fait très chaud (si si ça arrive) il y a des étangs bienvenus au Nord-Ouest de la ville, à Hampstead Heath. Trois étangs : un pour les femmes (a), un pour les hommes (b), un mixte (c). C’est un état de faits datant de la reine Victoria, la prude en chef. Etat de faits détourné depuis : les féministes, lesbiennes etc… ne veulent pas de mecs dans (a), les homos mecs ont quasiment annexé le (b). Bref seul le (c) est ouvert à toutes et tous et sans risque 😉  Mais voilà : le conglomérat LGBTQ (Q, c’est récent, pour Queer = pas clair, étrange, bref zarbi) fiche le bazar là-dedans. Enfin, surtout la lettre T : essentiellement les Tf (Trans option femelle) qui prétendent faire trempette dans (a) ! affreux ! des Tf, il y en a, pas encore opérés ou qui tiennent à  leurs attributs de naissance. Des pénis dans l’étang (a), vous imaginez ? Et voilà c’est la guerre.

Tout ceci pour rigoler un bon coup : voilà à quoi mène le stupide et nocif communautarisme. Il n’ y a pas assez d’étangs à Londres pour toutes les nuances de sexes et de confréries ou consororités ; il n’ y a pas assez de piscines en France pour toutes les religions et leurs bizarreries vestimentaires ou rituelles. Alors qu’il semble évident, logique, simple, économique, et humain ! de se baigner ensemble – moyennant quelques règles évidentes de vie en société. Bon sang… mais c’est bien sûr !

Tibert