Où le naturel revient au galop, 3.000 ans plus tard

Des scientifiques l’affirment : quand Moïse a traversé la Mer Rouge en char à boeufs avec ses ouailles (le peuple d’Israël), ce n’était, l’expliquent-ils, que très normal, vu qu’un phénomène naturel avait en quelque sorte asséché ou presque le passage vers le Nord depuis l’Egypte.

C’est ainsi qu’il a fallu presque 3 millénaires pour que les humains commencent à mettre en doute la réalité du Grand Barbu à Longue Chevelure qui servait à expliquer à peu près tout…, y compris comment Moïse et ses potes avaient pu traverser la Mer Rouge sans avoir à rouler leurs bas de pantalons ni relever leurs jupons.

Ah bon ? vous êtes sûr ? ce n’est pas l’Eternel qui… ? mais alors ?… wouah… ça alors… on nous aurait trompés ?

Tibert

One thought on “Où le naturel revient au galop, 3.000 ans plus tard”

  1. avant de parler de l’assèchement de la mer rouge, encore faudrait-il être sur de la réalité historique de l’Exode.
    La bible est un récit symbolique dans lequel affleure parfois des réalités historiques, ne l’oublions pas

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