Fatals soixante-trois pouces

Le Figues à rôts vous l’annonce, avec d’autres révélations tout aussi passionnantes : il est désormais licite à un individu de taille inférieure à 1,6 mètre de postuler à la Police Nationale. Vous ignoriez l’existence de cette exigence ? trop tard, elle n’est plus exigée. Je dirais même plus : il n’est pas fait mention d’une nouvelle limite minimale ! tout petits-petits, vous pouvez désormais postuler au port du bel uniforme de Rambo bleu marine avec des grosses godasses « rangers » noires,  et au pistolet réglementaire, espérant tout de même qu’il ne traînera pas par terre.

On apprend dans cet article figaresque que la limite des 1,6 mètre datait de l’ancien régime, où elle s’exprimait en pieds et pouces : 5 pieds 3 pouces, soit, puisqu’un pied fait 12 pouces, 63 pouces !! sachant que chez les Etats-uniens – les seuls à s’obstiner dans l’utilisation de leurs pouces (et à emmerder la planète avec ça) pour mesurer les longueurs – un pouce vaut environ 2,54 cm, cela donne 160,02 cm : on concèdera volontiers que les 2 centièmes de centimètre ainsi ratiboisés comptent pour du beurre. Allez, je vous le fais à 160.

Certes, pour maîtriser un malfrat de 1,85 mètre et 92 kilos, il est intéressant de ne pas ŝtre trop inférieur en taille et en poids, mais la police ne fait pas que du maintien de l’ordre !! la police scientifique, tiens, pour passer un pinceau sur le scooter du fils de M. Sarkozy, aux fins de mettre au jour d’éventuelles empreintes digitales, pas besoin de mesurer 1,7 mètre : même un nain peut le faire. Et plein d’autres boulots comme ça.

On apprend ainsi, au fil de cet article du Figaral, que, je cite : « Il n’y a en effet pas que des policiers «de terrain» : la police nationale comprend aussi des mécaniciens qui s’occupent du parc automobile, des interprètes ou encore des cuisiniers. » Là franchement, ça me la coupe ! grandeur et force de la Fonction Publique… je comprends mieux l’ampleur de l’effort financier qui est demandé aux ménages pour entretenir ces innombrables et efficaces effectifs administratifs.

A moins que ça relève de précautions sécuritaires, ces emplois policiers « décalés » ? que ce soit de la parano galopante ?  ils ont peur qu’on leur scie la barre de direction de leur bagnole ? qu’on traduise de travers les aveux des prévenus allogènes ? qu’on fourre leur jambon-beurre-cornichon de mort-aux-rats ?   prudence, prudence, un cuistot assermenté, c’est plus sûr !!

Au fait, l’arme réglementaire du policier-cuistot, c’est aussi le flingue à la hanche ? pour truffer de plomb ?

Tibert

Récursivité correcte

Nous nageons dans ce qu’il est convenu d’appeler le « politiquement correct ». Que dis-je, nous nageons ? nous sommes submergés, noyés, aveuglés, baillonnés surtout, par le « politiquement correct ». Depuis la loi Gayssot, notamment, il est très très mal vu – d’ailleurs on ne le voit pas, les « modérateurs », la censure, le consensus mou, la consciencieuse conscience veillent avec leurs grands ciseaux  – très mal vu et réprimé, dis-je, de dire, et surtout d’écrire quoi que ce soit qui puisse défriser les poils de la barbe d’un barbu, froisser une kippa, critiquer tel ou tel à raison de son appartenance à une communauté « sensible » (sensible aux critiques, s’entend).

Sauf deux sujets : le Christ, la chrétienté et le pape : vous pouvez taper, c’est non seulement permis, mais très mode, en fait. Attention cependant, UNE seule religion dite « du Livre » est bonne à critiquer et à se faire foutre d’elle ; les deux autres, pas touche !! Et les blancs : aucun problème, traînez-les dans la boue, les blancs, c’est sinon normal, du moins considéré avec la plus grande indulgence.

Bon, ce pré-en-bulles étant couché sur le papier, j’en viens au titre :  pourquoi dit-on « politiquement correct » ? en quoi est-ce politique ? et correct ? d’abord ce n’est pas correct, « correct« . Pas correct : si c’était correct, comme une démonstration de maths est correcte, on désignerait les chats par leur nom de chats, mais délicat, neutre, inodore, arrondi, édulcoré, châtré. Et puis c’est sociétal, et surtout pas politique, car la politique a pour credo le vrai, la clarté, la lucidité – on leur tourne le dos. C’est sociétal tendance « surtout pas de vagues », tendance charitable, tendance « tout le monde il est beau » ; sociétal parce que si des conneries sont faites, c’est la faute à la société, pardi !! saleté de société, sur laquelle on peut cogner allègrement, car elle n’est jusqu’à présent ni juive, ni musulmane, ni noire, ni homosexuelle, ni… bref rien de tout ce sur quoi il ne faut surtout rien dire de désobligeant.

Bref, c’est sociétal édulcoré, pas « politiquement correct », le « politiquement correct ». En somme, ce terme de « politiquement correct » a été rédigé en langue « politiquement correcte ». Miracle de l’auto-génération qui nous permet de lire « jeunes » là où il faudrait lire « bande de délinquants mineurs« , ou « les Taliban ont exécuté 8 membres d’une ONG en Afghanistan » là où tout journaliste normalement pas correct aurait écrit « assassiné« . Il est vrai que ces 8 dangereux terroristes avaient, paraît-il, des bibles sur eux !!  arrrgh, des bibles… affreux !! là on peut taper, pas de problème, ça fait partie des deux sujets où on peut se lâcher.

Tibert

Radio-débilo

Hier samedi, roulant sur une nationale bordée de ci de là de quelques baraques éparses, et l’oeil rivé sur le compteur pour respecter scrupuleusement la vitesse arbitrairement fixée à 50 km /h par un fonctionnaire facétieux, trop zélé ou mal renseigné (qui ? la DDE ? la mairie ?  la police ? le gouvernement ? on ne vous le dira pas), bref, roulant dans ma voiture, je mets la radio (excusez moi, j’ai détourné le regard du tachymètre quelques dixièmes de secondes, j’ai pu atteindre 52,3 km/h, aïe aïe aïe !!) pour avoir les « nouvelles » du jour sur France-Inter.

Ding-dung-dong, il est 9 heures, vachement important, le scoop du jour : la reprise du championnat de foot ! puis Bison Futé : attention ça roule mal, samedi rouge, noir, rose-bonbon dans le sens des transversales, etc.

Suivent : en Russie c’est la cata avec les feux de tourbe, et Tchernobyl n’est pas loin ! Au Pakistan on a les pieds dans l’eau, comme à Juan les Pins, mais c’est beaucoup moins rigolo, y a des morts  ! en Afghanistan, 7 ou 8 membres d’une ONG chrétienne ont été assassinés par les Taliban. Etc etc.

Bon,vous je sais pas, mais moi ça me les gonfle menu, ces infos de m… Quand les journaleux auront un peu de respect pour leur profession et pour leurs chers-z’auditeurs, quand ils arrêteront de les prendre pour des abrutis façon « allez l’O-M ! », on en reparlera. En attendant, vive donc la radio muette : encore un gadget inutile.

Tibert

Psycho-machin, ou le bordel ambiant

Tout d’abord, je sais : je me fais rare. Ben oui, trop à faire, d’autres préoccupations, tout ça… et les vacances, zut quoi, le gouvernement est en vacances, et moi je devrais continuer à produire des billets comme la Banque de France ? non mais.

Bon, allez, encore un sujet chaud :  non pas des révélations croustillantes sur la reproduction des bigorneaux dans les mers du Sud, mais un coup de projecteur (un focus, en franglais, ou, pire, on va focusser sur..) sur une réforme qui a bien besoin d’être menée à bien, un coup de balai salutaire dans le panier de crabes, la mare aux crocodiles, le grand n’importe quoi, j’ai nommé la profession de psychothérapeute.

Tiens, lisant ça dans le canard du matin, je me suis dit, pas trop tôt !! les sectes, et j’en connais, les techniques les plus approximatives, le n’importe quoi, fleurissent en effet sur le fumier de l’absence de règlementation concernant cette profession. Du touche-pipi au cri prénatal, de la lévitation au mantra et à la thérapie par la barbouille, la gamme complète des soi-disant thérapies se dispense un peu partout. Que les « patients » en pâtissent parfois, c’est certain, mais vous comprenez bien qu’en contrepartie les « thérapeutes », eux, se font du blé, et pas toujours très justifié. Donc un peu d’ordre dans ce capharnaüm, ce sera très bien.

Sauf que… encore une fois, les officiels « docteurs » en médecine ont verrouillé le truc : seuls eux peuvent se dire sans autre précaution « psychothétrapeute ». Bon, nobody’s perfect, comme disait l’autre ; ça va dans le bon sens, mais pas sans cahots (chaos ? ). Reste aux professionnels sérieux à se faire entendre.

Tibert

S'il te plaît, dessine-moi une Europe

Vous n’êtes pas sans savoir, estimée lectrice, estimé lecteur (*) que la Belgique, une fois, a du plomb dans l’aile, du fait des initiatives séparatistes des partis flamands. Et les journaux de nous rebattre les oreilles à coups d’hypothèses farfelues, comme le rattachement de la Wallonie à la France, Bruxelles devenant une sorte de zone franche francophone au milieu des Flandres, tel en son temps Berlin-Ouest, qu’on ravitaillait par pont aérien.

Et v’la-t-y pas que rebelote, un Suisse à grosses bacchantes et favoris (voir ce lien sur le Figues-à-rôts) demande que soient rattachés à son pays la Haute-Savoie et le Jura, bref les frontaliers français qui ont une tronche assez helvétique à ses yeux. Délire, direz-vous… fadaises, élucubrations abracadabrantesques, inepties, rodomontades ridicules.

Eh bien, pas du tout : 48 % des Savoyards français seraient pour ! remarquez, ces gens qui vont bosser en Suisse et rentrent en France le soir pour y dormir… autant dormir en Suisse, pas vrai ? ce serait plus simple… et puis, les bagnoles brûlées à tout propos, les caillassages de bus, le yoyo de l’Euro, l’équipe de foot ridicule, les quartiers sensibles, les rodéos de bagnoles volées, les frasques de la famille Bettencourt : hop, on tirerait un trait dessus, propre en ordre ! et vive le Franc suisse et les salaires multipliés par deux. Que du bonheur.

Moi si j’étais Wallon, je voterais aussi dans ce sens, sans hésiter : vive la Wallonie suisse !

Tibert

(*) ça c’est du politicien, langue que je parle couramment ; en français, on écrit : « chers lecteurs ».

Oooolé !

Les jeux du cirque chez les Romains, les corridas chez les Espagnols : même combat (le combat des autres, évidemment !). Foules avides de sang, de mort, élégantes installées a la sombra, côté ombre, c’est plus cher, et baissant le pouce ou exigeant les oreilles et la queue post-mortem…  en Catalogne ce sera, paraît-il, bientôt fini de ces spectacles nauséeux où la pauvre bête, haletante et épuisée, bardée de banderilles sanguinolentes et de mouches noires, la bave à la gueule, aveuglée par le soleil, se demande dans sa pauvre tête qu’est-ce qu’elle bien pu faire à ces gens-là pour qu’ils l’emmerdent à ce point, tous ces types costumés en carnaval, boudinés dans leurs pantalons aux bosses suggestives.

D’accord c’est beau, très beau la corrida, comme était beau le geste du rétiaire lançant son filet à la tête du secutor. Magnifique spectacle… juste dégueulasse, mais beau. Il faudra avoir des cojones, du courage, pour interdire ça, et ma foi, olé ! la Catalogne, si elle parvient à tourner cette page, aura gagné dans mon estime. Laissons les beaux taureaux sombres paître en paix, couvrir les vaches en demande, trottiner dans les estancias, en attendant la mort, comme nous tous.

Tibert

Epitaphe duisbourgienne

Il faut ici, même si ça ne sert à rien – la mémoire est maintenant dévolue aux puces électroniques, et on aura donc vite oublié – s’arrêter le temps d’un billet sur les 340 blessés et les 19 morts de la « Love parade » de Duisbourg, en ce beau mois de Juillet. Visages bleuis du manque d’oxygène, cages thoraciques enfoncées, corps piétinés, au son boum-boum-boum des caissons de graves à donf.  Les morts, bon, eux s’en foutent maintenant, c’était juste un mauvais moment à passer. Mais les 340 plus ou moins blessés, mais les survivants des chers disparus, ceux pour qui le mot « love » va désormais prendre la couleur grisâtre de la chaise vide ?

Il est des vérités physiques simples, de celles que les organisateurs de mitingues devraient connaître : la mécanique des fluides s’applique parfaitement aux terrains suffisamment homogènes, au sable… aux grains de sable, et aux foules compressées. Prenez 1,4 million de jeunes – ça fonctionnerait pareillement avec des vieux, mais ce qui les sauve, c’est que la musique techno les motive peu – et serrez les bien, debout : vu d’avion, c’est exactement le comportement de grains de sable légèrement déformables, tel que la mécanique des fluides pourrait le modéliser. Notamment si vous faites passer votre flux dans un tuyau, un tunnel, par exemple. Flux bien bourré, de préférence, dans tous les sens du terme.

La grosse différence, évidemment, c’est que le grain de sable, lui, n’a pas besoin de respirer, et qu’il panique peu, surtout s’il n’a rien bu. Et puis alors, la techno, les caissons de graves… le grain de sable, lui, pffff, il s’en tape.

Bon… de profundis, condoléances navrées, comme on dit. On avait déjà vu ce genre de truc dans des stades de foot ; l’enjeu y était à vrai dire autrement plus con : aller se faire tuer pour voir 22 types courir après un ballon, sans oublier un 23ème, que la foule voue aux chiottes, et qui trottine autour (du ballon, pas des chiottes, évidemment). Tandis que là, c’était pour l’amour : le prétexte était sur le papier tout à fait valable.  Ceci étant, l’amour, à deux (ou plus, ad libitum, mais pas 1,4 million !) dans un coin de pré, avec la musique du vent dans les branches, ça peut se révéler autrement plus satisfaisant, et moins risqué. Ca peut même donner envie de fredonner une chanson, sans qu’il y ait besoin de caisson de graves.

Tibert

Placébo beau

Un intéressant article de M Jean-Yves Nau, lisible sur le site Slate, nous en dit long sur la future et très attendue pilule « érectile » pour femmes, le pendant, donc, des Viagra-Cialis-Levitra qui embousent nos boîtes de courrier électronique. Erectile entre guillemets, car il s’agit de stimulation de la libido, non pas stricto-sangsue de rigidité pénétratoire.

Cet article commente les tests cliniques effectués sur la molécule baptisée poétiquement flibansérine – je cite : « Les membres [sic] du groupe flibansérine ont indiqué avoir eu une moyenne mensuelle de «4,5 rapports sexuellement satisfaisants», orgasme (ou pas) compris contre une moyenne –miracle récurrent des statistiques– de «3,7» chez les femmes du groupe placebo et de «2,7» chez celles n’ayant pris aucune pilule, censée être active ou délibérément factice. Une étrange différence unitaire qui en pratique plaide utilement ici, le cas échéant, en faveur du placebo. »

C’est là mon propos : nom d’un chien, la voilà, la solution ! faites avaler une vraie petite pilule rose de flibansérine à une femme, elle aura 4,5 rapports satisfaisants (le dernier, effectivement, là, assez moyen…) ; donnez-lui de la poudre de talc agglomérée et peinte en rose, elle aura 3,7 rapports ou/et orgasmes corrects, soit moins d’un orgasme de moins, pour un prix très largement plus avantageux (quand on connaît le prix du vrai Viagra – pas celui sur Internet – je vous laisse imaginer l’économie !).

Je vous le dis tout net : le trou de la Sécu, c’est fini, terminé, comblé ! on n’a qu’à instituer 3 classes de médocs :

– les vrais de vrai, vachement chers, carrément déraisonnables, sauf si vous avez une bonne mutuelle (*),

– les génériques, ouais, c’est mieux, assez citoyen, faut reconnaître,

– les placébos : qualité-prix imbattable, chaudement recommandés. Et ça marche presque aussi bien. Pour votre grippe, là, je vous prescris un placébo ? vous n’avez rien contre ?

Reste à inventer le placébo générique… ben oui, le placébo générique. Le top question prix, et ça devrait donner, dans le cas dont je vous entretiens, autour de 3,4 orgasmes potables : tout à fait satisfaisant.

Tibert

(*) Nos voisins Dugenou et nous utilisions jadis la même employée de maison, d’où cette expression.

Récré et travail administratif

Tiens, pour me faire pardonner l’aride billet précédent : je lis ça dans le Figaro-France.

Lisez-le vite pendant que, tant que, profitant du fait que, ça n’est pas passé aux oubliettes, choucrouté, mis à la trappe : c’est assez intéressant, et en dit long sur l’usage judicieux qui est fait de nos impôts. Mais je suppose que vous ne vous faisiez pas d’illusions, non ? si ?

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2010/07/09/01016-20100709ARTFIG00597-fonction-publique-sanctionnee-pour-avoir-dit-la-verite.php

Tibert

Dérivées chinoises

« La croissance chinoise ralentit » titrent plusieurs canards électroniques, des très financiers et des pas très.

Voyons voir, voyons voir… quand on ralentit, c’est qu’il y a diminution de la vitesse, non ?  (*) –  la vitesse (la vitesse de quoi ? du PIB ? ça court, un PIB ? ),  la vitesse, donc :  distance parcourue par unité de temps. Diminution de la vitesse : moindre distance parcourue par unité de temps. La croissance : l’augmentation du PIB chinois par unité de temps… l’augmentation : le supplément de quantité par unité de temps. Voyons voir voyons voir… je reformule :

La différence de valeur du PIB chinois constatée par unité de temps, par rapport à l’unité de temps précédente,  enregistre une quantité de distance parcourue en une unité de temps, moindre que la distance parcourue au cours de l’unité de temps précédente.

C’est clair, non ?

Non ? c’est pas clair ? alors, autrement : la dérivée seconde de (la distance parcourue par rapport au temps) de la dérivée première (du montant du PIB par rapport au temps) est négative !!

Mais ici on se trouve face à une « image » journalistique : quand on nous dit « ralentit », on veut dire « se tasse », « est moindre ». Il ne s’agit pas de vitesse ni de radar mobile (vous suivez ? 90-110-70-50-90-70-etc etc…) : il s’agit de faiblissement de la croissance. Aaaahhhh bon. Ah ces journalistes, toujours l’image qui fait mouche !

Donc reformulons : la dérivée seconde de la dérivée première du montant du PIB par rapport au temps est négative. On peut en déduire immédiatement que la dérivée troisième du montant du PIB chinois par rapport au temps est négative – soit d3(PIB) /dt3 < 0.

Eeeeh ben fallait le dire tout de suite, on aurait moins perdu de temps.

Tibert

(*) Au fait, la vitesse : 90 – 70 – 50 – 70 – 90 – 50 – 30 – 50 – 70 – 90 – 70 – 50 – 70 – 50 etc etc : surtout ne loupez pas un seul panneau : crac dedans, moins 3 points et moins 90 euros, assassin de la route que vous êtes !

(**) au fait, hier sur l’autoroute – vachement chère d’ailleurs, cette autoroute, 2 fois trop chère – je double un camion… j’étais à 133 compteur, soit 128 km/h réglo-réglo, foi de GPS, et lui doit calculer ça correctement. Bon, je double… il se trouve que mon GPS me donne aussi la vitesse maxi sur la portion de route où je me trouve. Il affichait donc 130, et v’là qu’il se met à 110 !! aurais-je loupé une case ? mon GPS déconnerait-il ? eh non, le gros-cul m’a caché le panneau 110 pendant que je doublais ; confirmation un peu plus loin, avec un obligeant panneau « 110, rappel ». Donc : les panneaux de limitation de vitesse sont mal placés.

En fait si, ils sont très bien placés pour que les automobilistes se fassent b… avoir. S’ils étaient sur un portique au dessus des voies, on aurait la quasi-certitude de ne pas les louper, ces précieux panneaux… mais le fric, hein, le fric ?