Bijoux et autres perles

Un cambriolage de bijoux pour une valeur de 500.000 euros, paraît-il, a été opéré au domicile – vide – de l’ex Mme Sarkozy, alias Attias (Cécilia, écrivait-on dans la presse Pipeule) actuellement en résidence à Dubaï. Connaissant la diligence et l’efficacité de la police dans l’affaire du scooter volé du fils Sarko, les coupables peuvent s’attendre à ne pas rester longtemps impunis !   cette affaire ne devrait pas se résumer au dépôt d’une main courante au commissariat du coin, contrairement à ma copine qui s’est fait voler la banquette arrière de sa C3 dans son parking.

Et pourtant, hein, de vous à moi, entre une banquette arrière de C3 et des bijoux, quel est le plus utile ? à votre avis ? Y a pas de justice.

Non, y a pas de justice, et voyez : deux décrets parus hier ou avant-hier établissent le « droit à la fibre optique » !! C’est-à-dire que tout locataire peut exiger de son proprio de faire installer la fibre optique dans son logement. Non mais ! Quand je pense que là où je crêche, les mobiles « passent » les jours de grand vent, quant à l’ADSL, c’est douucement le matin, pas trop vite le soir !!! autant dire que la fracture numérique a encore de beaux jours devant elle.

Noir c'est noir

Jeudi noir, qu’ils disent, qu’ils claironnent, qu’ils prophétisent. Noir pour les travailleurs qui envisagent d’aller travailler – faut gagner sa croûte, pas vrai.

« Pour l’emploi et le pouvoir d’achat » qu’ils disent. Donc on fait ch… ses voisins pour défendre son pouvoir d’achat : il serait peut-être plus judicieux de pousser les investigations, par exemple sur le grand écart de la viande, bien moins chère à la production, bien plus chère sur les étals des bouchers ou des hypermarchés. Pourquoi ? on pourrait pointer du doigt – et punir – les circuits de traitement-distribution qui se sucrent sur notre dos, mais c’est plus simple, on connaît déjà, on est habitué à République-Nation, on va encore claironner « Sarko des sous » et bloquer les trains les bus les métros les aéroports, pour punir le voisin.

Jeudi noir : c’est bien vrai. Jeudi noir des syndicats. Noir pour tout un tas de raisons. Noir de désespoir.

Cathédrales

Ce n’est pas le Styx, et la barque de Charon n’y passe pas les morts ; c’est le STIC(*), le fichier aux 83 % de fiches erronées, et la barque de la Police y embarque (vous suivez ? embarquer = monter dans une barque !! quelle belle langue que la nôtre !) pêle-mêle les victimes et les agresseurs, les suspects avérés ou pas. Et ce n’est pas un petit fi-fichier de 3 sous : 36 millions d’entrées, mazette ! Le problème, c’est que ce fichier, critique, ô combien, car traitant de votre moralité, est faux…

Ce qui est surprenant, c’est qu’on puisse penser qu’un fichier si mahousse puisse être exact. Sur le volume, il y a toujours, forcément, des erreurs. Mais 17 % de fiches sans bavures, on est d’accord, c’est peu. Imaginez que le fichier des tarifs et codes-barre soit faux à 83 % chez votre hyper Mamoutte habituel : la crise !! la paralysie des caisses, le nervous breakdown des caissières, le dépôt de bilan vite fait.

C’est une mauvaise manie française que de bâtir des cathédrales informatiques jamais finies. On conçoit de magnifiques choses, on définit des structures intellectuellement belles, on y passe des ans, et quand c’est à peu près au point on constate que c’est obsolète, que le monde a changé entretemps, qu’on peut jeter le truc et en recommencer un autre(**). Et comme ce n’est pas avouable, on reste souvent avec son « usine à gaz » complexe et ingérable, absconse et pas au point car trop sophistiquée. On fait avec.

Une autre tare bien d’chez nous, c’est que l’intendance ne suit pas.  Beau fichier, immense effort de conception, vaste édifice, mais 3 bouts de ficelles pour le maintenir en état et à jour. Non par manque de fric : du fric, il y en a, l’administration française sait pressurer le contribuable ; mais parce qu’on n’y pense pas, c’est subalterne, voilà tout.

Pour en sortir, une idée : sachant que tout acheteur de bagnole est désormais taxé « prévisionnellement » de 4 euros pour la bonne gestion du futur système informatique des cartes grises (système qui n’est pas encore en place, sauf la taxe, bien entendu, voir mon billet là-dessus), pourquoi ne pas taxer de 4 euros tout individu « bénéficiant » d’une fiche dans le STIC ? pour qu’il puisse espérer, prévisionnellement, qu’un jour lointain la fiche le concernant sera correctement renseignée, avec les coches dans les bonnes cases ?

(*) STIC : Système de traitement des infractions constatées

(**) Le problème, c’est la CNIL : Si ces enfoirés ne mettaient pas leurs grosses patasses là où ça ne les regarde pas, le STIC aurait pu continuer à vivoter tranquille, faux comme une casserole mais doit y avoir quand même du bon…

L'itinéraire quotidien du postier de Neuilly

… ne passe probablement pas par la gare St Lazare, à Paris.

Sinon nous l’aurions peut-être entendu vitupérer, lui aussi, les syndicalistes irresponsables de SUD. Or, il trouve très très bien , notre postier trotzkyste Besancenot,  que le service Public (Saint Service Public, dirait-il s’il était croyant) soit vidé de sa substance par les grévistes : de service public, y en a pas eu, à St Lazare, pendant des semaines. Et ce sont précisément ceux qui le sabotent, le service public, qui viennent nous seriner que, la faute à Sarko, etc.

Si la SNCF a du mal, ce n’est fichtre pas la faute de ses clients, qui payent. Et qui ont rarement le choix, d’ailleurs ! Alors quand les rouges et irresponsables syndicalistes SUDistes voudront bien s’apercevoir qu’ils invectivent Sarko mais étranglent leurs clients – qui ont pourtant payé, j’insiste – bref quand ils auront perçu qu’ils se trompent d’ennemi, on aura fait un gros progrès. C’est M. Sarkozy qu’il faut bloquer en gare, c’est lui qu’il faut faire ch… si on est en rogne, et empêcher de prendre le 7h12 Sartrouville-St Lazare, pas les autres.

Suggestion de sujétion

Il y a toujours autant de crottes (de merdes, d’étrons) de chiens sur les trottoirs de notre capitale, j’ai pu le vérifier de visu, l’odeur je ne sais pas, étant enrhumé en ce moment – voir mon billet précédent.

Jusqu’à présent – touchons du bois – j’ai pu louvoyer habilement pour échapper à l’engluage du pied gauche, ou droit, c’est selon. Mais un jour, fatalement, une distraction, une seconde d’inattention…

Or, j’ai pu constater de visu – l’odeur je ne sais pas, je suis enrhumé en ce moment – que de nombreux « contractuels » arpentent les rues de la capitale, carnet à souche et stylo-bille dans le holster, prêts à dégainer au moindre accroc au règlement du stationnement.

Cher Maire de la capitale (vous permettez que je vous appelle « cher Maire » ? ), j’ai une suggestion : pourquoi, puisque visiblement les policiers ne sont pas assez nombreux pour patrouiller sur les trottoirs afin d’y verbaliser les maîtres-clébards crotteurs (ou qu’ils jugent ce travail subalterne, dénué d’intérêt…), pourquoi, dis-je, ne pas élargir le champ d’action des contractuels anti-bagnoles-ventouses, et leur confier la noble tâche de sauter sur le poil des propriétaires de toutous oublieux du caniveau ?  Ce serait une sujétion de plus pour ces travailleurs obscurs et infatigables, arpenteurs du pavé parigot, qui, eux aussi, d’ailleurs, doivent louvoyer entre les étrons, mais peut-être qu’enfin on verrait les indélicats se faire verbaliser ? les trottoirs devenir moins merdeux ? allez savoir.

Car jusqu’à présent, il y a la Loi – très belle, la Loi, impeccable – et la dure réalité : la dure réalité, c’est qu’il n’y a pas de Loi. A édicter des Lois sans les faire respecter, on passe inévitablement pour des guignols (je reste ici dans un registre de vocabulaire volontairement très modéré).

Je vous l'avais bien dit (écrit)

Je découvre cet entrefilet (ce n’est pas « entre des filets », sinon ce serait « entrefilets », c’est un filet « entre » : entre quoi ? je m’en fiche, c’est le filet qui m’intéresse, ce n’est pas le voisinage).

Il paraît, c’est très sérieux, que les gens qui dorment moins de 7 heures par jour (par nuit, en général) sont plus souvent sujets à des rhumes. C’est une page « sciences » de Libé (…ration quotidienne, ne pas dépasser la dose etc etc).

Bon, j’en suis, voilà. J’en fais partie, des gens qui. Le problème, c’est que je ne sais pas quoi faire. Moi, je m’emmerde ferme au lit, une fois réveillé. J’ai envie de faire pipi, j’ai soif, je veux voir les derniers développements de l’actualité, bref je me lève ! s’il faut se forcer à rester couché pour tuer les rhumes, on va attraper des escarres. Rhume ou escarres : choisissez.

Le pire, c’est qu’on a fait ces constats en mettant des « rhinovirus » dans le nez des cobayes : donc ça existe bien, les virus du rhume ? on les connaît ? oui ? oui.

Alors, qu’est-ce qu’on attend pour faire un Téléthon destiné à financer la recherche anti-rhinovirus ?

Je l’ai toujours pensé , mais vous allez dire que je paranoïe : c’est LE fromage de l’industrie sanitaire, toubis pharmaciens labos etc : trouver le vaccin anti-rhinovirus, c’est pour ces gens-là comme l’invention de la lampe à incandescence pour les fabricants de bougies. sauf que les lobby sanitaire, c’est un autre poids que les fabricants de bougies.

Et c'est la mêm' chan-son…

Un article propre, clair, mesuré, assez bien argumenté nous interpelle, nous les pas-fonctionnaires : tenez, c’est dans Le Monde-Web de ce matin tard, et ça s’appelle « Fonctionnaires et assimilés : une cible facile« . L’auteur est conducteur de trains. Il dit des choses très vraies, ce monsieur, et bien évidemment nous, Français raisonnables, pas jusqu’auboutistes, pas enragés de la Libre Entreprise, ne sommes pas assez idiots pour vouer le Service Public à la poubelle. Le plaidoyer est donc assez bien venu, mais…

– Mais je vois que les grévistes sont très majoritairement des fonctionnaires et assimilés ; le service (public) rendu n’est pas ce qu’il devrait être : voyez les emmerdements des clients de la gare St Lazare à Paname. Il peut alors arriver que les grévistes se fassent insulter à juste titre, ça se trouve…

– Mais je ne vois pas en quoi le fait de travailler pour l’Etat justifie des avantages hors normes, des CE aux budgets indécents (EDF), des départs à la retraite largement avant les autres : la fatigue, c’est pour tout le monde ! Et les colos de vacances, tout le monde en a besoin.

– Mais je ne comprends pas pourquoi, là où un salarié du Privé se démerde pour gérer sa carrière au mieux, c’est l’Etat qui gère sans beaucoup de pertinence la carrière des fonctionnaires, qu’ils bossent ou qu’ils ne fabriquent que des cocottes en papier. Bien évidemment beaucoup travaillent, et avec coeur ; mais dans le privé, quand on est mauvais, on se fait jeter (parfois aussi quand on est bon, d’ailleurs !) ; qu’est-ce que c’est que cet employeur qui gère aussi mal ses effectifs ?

– Mais je ne vois pas pourquoi il faut être fonctionnaire pour planter une perfusion, éplucher des légumes dans une cantine municipale, ou élaguer des arbres le long des avenues. Ce sont des tâches utiles, c’est entendu ; mais où est le rôle de l’Etat là-dedans ? Le Privé le fait aussi bien… du moment qu’un cahier des charges – définition des tâches, contrôles, mesures de qualité, respect des budgets – défini par nos Maîtres est adopté et suivi, évidemment.

Je l’ai déjà dit ? je l’ai déjà dit. Mais bon… ça fait du bien. Comme les bonnes vieilles rengaines.

Privés de dessert

L’actualité au proche-Orient étant actuellement envahissante, je n’en traiterai pas, ça ne changerait rien, reportez-vous à vos canards habituels, qui n’y peuvent rien non plus. Je reviens ici sur le rite institué depuis une dizaine d’années, rite qui consiste à cramer des bagnoles pour le Nouvel An, et à compter les points. Comme la galette des rois, la semaine du blanc, nous avons désormais le cramage de bagnoles au Nouvel An. Grands champions, en Ligue I, l’Alsace et le 9-3. Mais aussi des petits poucets, des coins où nulle barre d’immeubles délabrés et tristounets ne dépare le décor, où de rarissimes sweat-capuches bronzés hantent le paysage.

Que faire ? d’abord les fraudeurs à l’assurance ont repéré le créneau, et donc une proportion intéressante des incendies de bagnoles vient de là : c’est le moment, LA journée – la nuit, plutôt – de cramage de sa vieille caisse pourrie qui vaut encore 4.000 euros si on la  fait passer pour victime des zivas et autres loulous.

Pour remédier à cet état de fait regrettable, deux pistes pourraient être suivies : 1) faire patrouiller la Royale dans les cités, tout comme elle arraisonne les pirates Somaliens dans l’océan Indien ; 2) rendre l’assurance vol-incendie obligatoire.

Mais voilà que notre bon Maître, notre Petit Nicolas, pas en panne d’idées, nous propose de priver les incendiaires – pas les fraudeurs à l’assurance, eux c’est un autre problème – de permis de conduire ! A croire qu’il n’existe pas de loi pour répondre à ces dégradations et atteintes à la propriété. A croire aussi que le permis de conduire c’est l’Alpha et l’Omega de la motivation du jeune de banlieue.

Il faudrait qu’il sache, notre bon Maître, que moult conducteurs roulent déjà sans permis, du fait d’ailleurs de dispositions très discutables concernant le respect du code de la route ! et puis, qu’est-ce que c’est que cette haine contre le permis de conduire ? qu’est-ce qu’il a, ce papier, de plus que la carte d’électeur, l’attestation de domicile, le relevé du gaz  ? le retrait du permis de conduire comme Père Fouettard…

Poussons la logique : quand on laisse crotter son chien sur le trottoir – et qu’on se fait gauler, évidemment – retrait du permis de conduire ? quand on urine sur la voie publique, retrait du permis ? quand on pique dans les rayons chez Mamoutte, retrait du permis ? Qu’est-ce que c’est que cette fixation sur le permis de conduire ? il doit y avoir une névrose derrière ça. Un noeud affectif, lié probablement à la petite enfance. Une faille secrète.

C3 c'est fou

Zarbi, cette histoire. Sale affaire.

Une de mes connaissances qui gare sa petite Citroën C3 lambda dans le sous-sol de sa résidence, en banlieue parigote « rouge coco », a eu la désagréable surprise de retrouver sa bagnole privée de sa banquette arrière. Evidemment ce n’était pas de la frappe chirurgicale, et donc une vitre latérale était explosée, ça va plus vite que d’ouvrir proprement les portières, la bagnole avait été un peu malmenée, mais quoi, hein, une banquette arrière de C3, c’est le top, pas vrai ? et, la même nuit, 2 autres C3 de la même résidence se sont vues privées elles aussi de leurs banquettes.

Déclaration aux flics, évidemment, car pour se faire rembourser par l’assurance il faut en passer par là. Non qu’ils prennent la peine de relever les empreintes digitales, les poils de nez, les sécrétions, les brins de tabac, ce genre de vol relève de la simple paperasserie (ah si c’était le scooter du fils de MachinTruc, évidemment…) ; bref l’avis des flics c’est que des garagistes piquent ces banquettes – ou passent commande à de petits malfrats spécialisés dans ce genre de commandes – pour leurs clients, façon « je vous trouve une banquette d’occase pas trop chère, on dit 400 euros ? ça en vaut 1.000, neuf ! « .

Et donc, la penaude victime du vol de banquette de se retourner vers les casses auto : pas une banquette de C3 à vendre !! pénurie totale. Idem chez les agents Citron, pas de banquettes de C3. On va pas tarder à passer aux tickets de rationnement. Denrée rare.

Sur Ebay, sur www.JacheteEtJeVendsNimporteQuoi, bref, sur la Toile, on en trouve, des banquettes de C3. Cher : 400 euros environ. Et le fin mot de l’histoire, qu’on découvre en y papillonnant, sur la Toile, c’est que la C3 se vend beaucoup en « commerciale », façon voyageur de commerce, et donc sans banquette arrière. Mais c’est pas grave, il suffira ensuite d’y ajouter une banquette arrière, et hop, ça fera une bagnole normale !! banquette arrière d’occasion, de préférence, tombée du camion, par exemple, et pas trop chère.

Ainsi les Ferrari, Bentley, Jaguar, qui ne se vendent pas en version « commerciale », ont peu de risques de se faire faucher leur banquette arrière, surtout si elles n’ent ont pas. Et encore moins dans un sous-sol de résidence de la banlieue « rouge coco ».

Promos sur le Rosbif

Il n’échappe à personne en ce moment que la monnaie britannique est largement en dessous de sa valeur des dernières années, puisque dégringolée de 1,5 euros à 1,05. D’aucuns se demandent pourquoi nos voisins s’entêtent à conserver leur « Pound », mais pour qui connaît l’orgueil, la morgue et l’égoïsme calculateur de cette nation, il n’y a là rien d’étonnant. D’ailleurs l’Euro n’est pas une panacée, ne rend pas saines les économies mitées, et son adoption passerait de toutes façons par un certain nombre de critères drastiques. On peut en outre constater que cette faiblesse de la Livre ne change pas les points de vue outre-Manche.

Cette superbe des Britanniques nous fait toujours marronner, nous, les continentaux – moins les Suisses, île narquoise et financière – et cet affaiblissement de leur monnaie fait plaisir à beaucoup ici : ça leur apprendra… ils vont bientôt nous manger dans la main… on fait moins les fiers maintenant… non mais pour qui ils se prennent… et l’on évoque avec satisfaction la débine des Rosbifs expatriés dans la Dordogne, la Haute-Vienne ou le Lot et qui commencent à compter leurs sous, les problèmes de ces candidats à l’achat de fermes quercynoises qui deviennent trop chères…

Eh bien, mais ça serait le moment de retourner la situation !! d’envahir leurs campagnes, et plutôt que de nous faire construire des pavillons moches et merdiques dans des lotissements tristes à mourir, de profiter « à rebours »  des aéroports « low-low-cost » pour envahir le Kent, les Cornouailles, le Devon… de répliquer au « Dordogneshire » par… euh… bon, passons, d’investir là-bas des agences immobilières francophones, têtes de pont au rachat des cottages anglais ou gallois.

Non ? ça ne vous branche pas ? le gigot bouilli à la menthe ? les rognons de boeuf en sauce brune dans une pâte brisée ? le porridge ? la bière tiède ? le cabillaud pané avec des frites au vinaigre dans un cornet de papier journal ? les routes bourrées de radars où l’on roule du mauvais côté, et sans bas-côté pour s’arrêter ? et la délicieuse campagne anglaise sous la pluie ? sous la pluie ? sous la pluie ?