Pot de yaourt, le retour

On ne va pas évoquer les sujets qui fâchent, les sondages ravageurs – une vague Marine semble déferler sur nos campagnes, c’est pas possible, pincez-moi, ça doit être une erreur, on va le refaire – ou le remake de la Guerre Civile d’Espagne sur le rivage des Syrtes, où le loyaliste n’est pas cette fois-ci du bon côté, mais mutatis mutandis c’est assez semblable, la communauté internationale se bornant à compter les points de loin ; non, aujourd’hui une petite page économique, on va refaire le tour du pot de yaourt dont le fond est de plus en plus haut tandis que le niveau de remplissage est de plus en plus bas.

Cette page est en français, c’est un joli (*) blog hébergé au Monde, mais qui pointe hélas sur des informations en Rosbif, je sais, désolé, mais y a des images, alors on peut quand même en comprendre un peu. On y découvrira qu’il n’y a pas que les pots de yaourt à subir la dure loi du profit (pour l’industriel, pas pour l’acheteur !).

Cerise sur le pot de yaourt, il y est bien entendu question du prix au kilo – vous savez, les tout petits chiffres sur les rayonnages, quasi illisibles – mais aussi, curieusement, du poids au kilo, qui, heureusement, devrait, lui, rester stable, sauf bouleversement des lois de la gravitation terrestre.

Tibert

(*) « joli » est très tendance, ça se dit à tout propos, et  j’ai notamment constaté ce tic chez les chroniqueurs gastronomiques : la « jolie salade de pétoncles au beurre de salsifis sur son lit d’écrasée de topinambours ». Miam…

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