Quand François bat la campagne

Dernièrement le papam François de la chrétienté papiste s’est fendu de déclarations péremptoires sur l’accueil moralement et humainement quasi impératif des « migrants », toutes catégories confondues, avec leur fratrie, tant qu’on y est… et de nous exhorter à leur dérouler le tapis rouge.

Je regrette cher François, mais là vous poussez vraiment le bouchon trop loin, et avec une certaine légèreté, pour ne pas dire inconscience. Les beaux sentiments c’est mignon mais ça ne  tient pas lieu de solution dans le réel. J’ai trouvé dans Le Huffington (à vos souhaits !) une  réaction écrite de monsieur Pierre Lellouche, député etc, bref un politicien : « Le pape n’a pas de leçon à donner à l’Europe sur les migrants« . Et ma foi, chers auditeurs, point besoin de paraphraser monsieur Lellouche, il dit fort bien ce que je pense, vous pourrez le constater par vous mêmes sur ce lien.

Tibert