De quoi pourrait-on causer ?

Eh oui, encore des nouvelles du front. C’est malheureux à dire, mais question évènements c’est la monoculture, c’est Covid à tous les étages. Mais, promis, le prochain billet je cause d’autre chose.

Donc, disais-je, une copine de ma femme a été vaccinée hier (*) – première dose, mais la suite suivra, lui a-t-on promis – et elle a juste pris ensuite un Para-7-à-molle par précaution, inutilement d’ailleurs disait-elle ; à part ça elle n’a pas encore de pieds fourchus ni d’écailles sur le ventre qui lui auraient poussé. Comme quoi cette histoire d’ADN modifié c’est du n’importe quoi… On en est bien aises pour elle, tout s’est bien passé, rendez-vous pris et non reporté, excellente piqûre.. que du bonheur. Il est vrai qu’elle réside dans une région qui n’est pas la plus trou-du-cul de la France : les TGV y passent, les TGV y arrivent, c’est dire. D’où ? de Paris, enfin, voyons.

Et puis, paradoxe vaccinal, il appert que le vaccin AstraZeneca étant facile à administrer, disponible (à ce qu’on nous dit…) et valable pour les moins de 65 ans, on va désormais et rapidement les piquer un peu partout, ces jeunots, dans les pharmacies, chez le véto, au bureau de tabac, dans les discothèques…  tandis que les « prioritaires », têtes chenues, déambulateurs et voix chevrotantes, devront, eux, continuer de poireauter pour leur Pfizer ou leur Moderna introuvable, sans savoir ni quoi ni qu’est-ce, mis devant l’arbitraire de rendez-vous reportés manu militari par un froid automate non joignable, ou carrément incapables de prendre un rendez-vous. On n’a pas encore fini les pensionnaires des Ehpad, c’est dire…

Tibert

(*) Ce n’est ni la variole, ni le BCG, ni le tétanos.

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