Blacklists et anglicismes à gogo

Demain ( ? vu le battage depuis des jours et des jours, si ça se trouve c’est peut-être déjà passé ?? va savoir…) c’est un vendredi noir, un Blac-Fraïdais comme ils disent pour mieux vous vendre. Il paraît qu’il y aura des promos à tomber… sur des trucs que vous n’auriez sans doute pas eu l’idée d’acheter.

Alors, je vais vous dire : vous pouvez faire des économies incroyables, ce Vendredi Noir. C’est simple, vous n’achetez rien ! d’une, ça leur apprendra à causer notre langue, à tous ces marquéteux anglolâtres et infoutus d’imaginer des expressions qui nous parlent ; de deux, vous attendrez d’avoir vraiment besoin d’un truc pour l’acheter, ce qui n’est somme toute que du bon sens. On dit merci qui ?

merci Tibert !

One thought on “Blacklists et anglicismes à gogo”

  1. Merci Tîîîîîbuche !!!!!!!
    Caisse ch’uis con : j’ai toujours cru que « Black Friday », ça désignait le compagnon de solitude de Grobinson CruZoë dans le bouquin de Daniel de Foë… Même que remouliné en deux versions par notre Michel Tournier national (paix à son âme), « Vendredi ou la vie sauvage » (version édulcorée à l’usage des zenfants sages) et (en nettement plus « hard »*) « Vendredi ou les limbes du Pacifique », c’est nettement plus « In ze wouind »** que la version « genuine »***, un peu bébête de nos jours.
    Mais c’est ça les « masterpieces » : une fois lâchés dans la nature, ils vivent leur vie…
    T.O.

    (*) … et pour être dur, c’est dur : le drapeau arc-en-ciel flotte sur l’île déserte !
    (**) Comme dans « Blown in ze ouind' », s’pas Mam’zelle Scarlett ?
    (***) … c’est ce qui était écrit sur l’emballage des nouvelles zoptiques de phare de mam’zelle Clio, exigées par le Con-Troll-Technique l’autre jour : « Renault Genuine pieces », juste avant « Made in France ». Ouf, on a eu chaud elle et moi ! Des fois qu’elle aurait eu ses nouveaux yeux « Made in Korea », là où qu’on roule à gauche : un accident est si vite arrivé ! Mais quand je pense que Louis Renault s’est fait chouraver son usine en « Régie » au profit de l’Etat rien que pour avoir vendu des moteurs pour les chars allemands…
    Oui-da, mais la mondialisation était pas encore passée par là !

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