( Des miettes… de une, cet article (amorce d’article) sur les “lobbies de l’énergie renouvelable” : on ne nous le dit surtout pas (ça ne va pas dans le bon sens), produire des KWh avec du solaire ou pire, de l’éolien, c’est, en France, débile, de nos jours. La France, avec le nucléaire, est excédentaire en énergie électrique, au point que la vente de nos KWh à l’étranger se fait parfois à perte ! de l’énergie tributaire du vent ou du soleil, irrégulière, superflue, et – particulièrement l’éolien – contestable : saccage des paysages, coûts élevés, pérennité douteuse, et recyclage incertain. Bref : un diktat de la Verdure Politique, trop sûre d’elle et qu’il faut dénoncer.
De deux, monsieur Netanyahou nous livrait hier ses convictions… pas la peine de s’époumoner à lui réclamer la fameuse “solution de deux états” , qui aurait dû voir le jour dès 1948, si les Britanniques avaient été plus sérieux, ou moins retors. Il faudra le mettre fermement hors circuit si l’on veut avancer vers la paix : c’est la guerre qui le maintient en place. Je le cite : “Il n’y aura pas d’état palestinien” . C’est clair ? c’est on ne peut plus clair. )
Mais la Cour de Cassation vient de nous sortir un truc superbe : si vous tombez pâle pendant vos vacances salariales, et en prenant soin de vous faire mettre en arrêt-maladie par un toubib dans les temps impartis, vous pourrez profiter néanmoins de vos jours de congés “pleine forme” . Exemple : Vous prenez 2 semaines en Juillet… trois jours après le début des vacances, vous mangez des moules pas nettes : gastro ! pire, intoxication alimentaire. Trois à cinq jours sur le flanc, à faire la navette entre le lit et les WC, bouillon de légumes, anti-diarrhéiques, et vomissements. Vous vous faites délivrer (établir, prescrire… en français) un arrêt-maladie de cinq jours ? vous pourrez avoir cinq jours de rab’ de vacances (vous éviterez les moules). On a cinq semaines, trente-cinq heures quand ce n’est pas trente-deux voire moins, N jours fériés calendaires offrant si possible des ponts et des viaducs, des RTT, des… et désormais on peut être malade ! en vacances ! aux frais du patron ! Elle est pas belle, notre belle société des loisirs ?
Tibert