( Les récents actes de “vandalisme” envers les installations SNCF, qui ont gravement perturbé les trains et leurs passagers malheureux : des pilleurs chroniques de cuivre, que tout le monde a identifiés depuis longtemps, et des ultra-gauche hostiles à tout ce qui fonctionne utilement. Du “vandalisme” ? du sabotage, qui devrait clairement être qualifié comme tel, avec les sanctions idoines et ad hoc. Un pari : si l’on gaule les coupables, on va immanquablement leur trouver une enfance malheureuse.
Et puis, non contents de nourrir douillettement plus de 1.000 comités Théodule, et bien à rebours de tenter d’y remédier : on m’en signale un, inconnu jusqu’ici : l’ « Observatoire des médias sur l’écologie » créé l’an dernier avec le financement du ministère de la Culture (*), de l’Arcom, de l’Ademe et de la Fondation de France. Ce noble organisme patenté, émanation de l’association QuotaClimat, traque les médias qui ne vont pas dans le “bon” sens : les infos bidon des climato-sceptiques, comme les questionnements légitimes : voyez cet article de “Energies et Transitions” (je l’ai dans le désordre), qui leur rentre dans le lard… un superbe exemple de la Pensée Unique à l’Oeuvre.
Pour la bonne bouche : les abrutis ou les malfaisants (les deux, en fait) qui prétendent mordicus que madame Macron fut un homme… on leur fait un procès, et c’est bien fait. Ils invoquent, en défense, la liberté d’expression : en l’occurrence, ce serait de l’ “esprit Charlie” , soutient même l’un d’eux. Disons-le haut et fort : oui ils ont le droit de s’exprimer, c’est élémentaire. C’est peut-être – je ne suis pas expert en Esprit-Charlie breveté – de la veine du canard satirique susnommé, avec de très pesants godillots. Mais on doit assumer sa liberté, sa parole et ses conséquences. Ces gens causent un tort évident, obstiné, têtu et obtus à madame Macron, à sa personne, à sa dignité – hors toute polémique sur son président de mari. Que la justice fasse son boulot : la fange doit être désignée comme de la fange, comme les réseaux “sociaux” sont des cloaques.
Tibert
