“… parce qu’à prononcer vos noms sont difficiles” : c’est pour ça que lorsqu’un “jeune” au prénom peu hexagonal est impliqué dans une histoire (un rodeo, un tapage nocturne, une tournante, du kif qui circule, etc…), bref un fait divers, on n’a pas droit à son blaze.
– Donc, qu’il s’appelle Bachir ou Mouloud, Mohamed, Tarek, Hocine… ami lecteur, tu n’en sauras jamais rien.
– en revanche, s’il s’appelle Adrien, pas de problème ! Adrien est cité nommément – voir ce fait divers sur Libé, un mort par 22 long rifle, hier (tapage nocturne, selon les premiers éléments de l’enquête).
C’était notre petite chronique : “A propos de la discrimination positive dans la presse”.
Tibert