( On a par ci par là des infos discrètes, ça ne fait pas les gros titres : de plus en plus souvent, des bandes de dizaines de djeunes, genre 12-15 ans déferlent, dans une fête de village, sur les bords d’une piscine dans une résidence privée, à la rencontre d’un véhicule de flics… sûrs de leur force et de leur impunité. C’est le double effet de, une, les “réseaux sociaux” qui les scotchent à leur mobile et leur permettent de rester branchés, à l’affut de la moindre connerie à faire collectivement : concours d’idées stupides et / ou malfaisantes ; deux, des particularités de la Loi, qui les tient pour des gamins, donc irresponsables : “on peut rien faire” . Eh bien ces charmants bambins savent suriner, lyncher, dépouiller, violer, casser, incendier, comme des grands ! il faudra qu’on finisse par s’en rendre compte, et donc modifier la Loi, et nos pratiques. Pour le moment, on en reste à la théorie bisounours des chères petites têtes blondes. )
Et puis Donald, vexé de s’être fait rouler dans la semoule par Vladimir, va réagir très sévèrement, si dans 50 jours ledit Tsar des Russies ne vient pas à la table des négociations, armes en pause. Il rejoint ainsi la tactique générale adoptée pour contrer Vladimir : aattentioonn… oon vaa se fâââcher… mais rien ne presse, apparemment. En Europe, on en est encore à prier poliment, faire courtoisement le siège du ministre slovaque, très pro-Poutine, pour qu’il accepte enfin de donner son accord au 18ème train de mesures de coercition : c’est lui qui bloque, paraît-il. Pour Donald versus Vladimir, c’est dans cinquante jours. Pourquoi cinquante ? bonne question. Sept semaines, à un jour près… combien ça fait, en pouces-carrés ?
Tibert